1. Au service (pas st secret) de Madame (1)


    Datte: 13/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... j’ai fini de l’épuiser, elle va pouvoir dormir maintenant. Elle m’attire contre son corps de rêve, je m’y blotti, amoureuse de Madame, la prenant dans mes bras à mon tour. Le sommeil nous emporte dans ses bras musclé, mais tellement doux. Le jour se couche, près de Madame, je ne peux m’empêcher d’admirer son corps aux courbes plus que parfaites. Sa plastique, c’est ce que j’ai vu en tout premier à mon arrivée. Madame est jeune, moins que moi, certes, mais à presque trente ans, elle vit pleinement ses fantasmes. Malheureusement pour moi, je n’ai que les restes parfois et cela me désole parfois. Dans la cuisine, je prépare notre déjeuner, l’odeur du café l’attire. Dans mon plus simple appareil, elle embrasse mon dos en me caressant mes fesses. — Tu es superbe Manon, un de ces soirs, je t’emmènerai avec moi. — Madame, je préfère que Madame me punisse, parce que je refuse ce genre de soirée. — Te punir, voilà une idée qui me plait tout particulièrement. Je ne répondis rien, je savais, en étant engagée, qu’elle pouvait me punir si elle en éprouvait le désir, c’est écrit noir sur blanc sur mon contrat. Ses soirées, je les connais et je refuse qu’un homme me possède ou même me touche. Ils sont si terriblement vulgaires que pour eux, une femme est juste une victoire de plus à leur tableau de chasse. Ils sont comme ces pilotes de chasse, ils peignent leur trophée sur leur mur à chaque fois qu’ils baisent une nouvelle femme. Je sais qu’il en existe de tendre, des très doux, des ...
    ... aimants. Pour mon plus grand malheur, je n’en ai jamais rencontré. J’ai fait d’amère expérience par trois fois, sans oublié cet horrible viol. Mais ça, Madame l’ignore. Madame insiste pour que je l’accompagne, je continue à refuser obstinément. — Tu sais que je vais me montrer diaboliquement cruelle si tu ne me donne pas une explication valable sur ton refus. Alors, bien obligée, je lui raconte mes mésaventures avec ces trois hommes puis… ce viol ignoble. Pour elle, mon récit doit ressembler à du Zola, rien de plus. Pour moi, c’est un supplice rien que d’en parler. À mon grand étonnement, elle n’insista plus, me serrant dans ses bras, sa bouche tète mes seins. — Pardonne à ta Maîtresse, ma chérie. Mais tu sais, tous les hommes ne sont pas ces salauds que tu décris si bien, ma foi. Tes trois imbéciles ne savaient rien du sexe, de l’amour, un point c’est tout. Quant à ton viol, je voudrais tenir ces mécréants pour les châtier comme il se doit. Bon, si tu ne veux pas venir, je ne vais te l’imposer. Mais par contre, si la soirée vient ici, tu ne pourras plus refuser. — Madame, je refuse d’être baisée par un homme. — Ok ! Mais une punition s’impose alors. — Bien Madame ! Madame sait que je suis toujours prête à la subir, peu m’importe comment. Elle m’emmena dans le sous-sol. Elle ouvrit une cave de la maison que je ne connaissais pas encore. Je restais sans voix en la découvrant. À mes poignets que je lui tendais, elle m’imposa des bracelets de cuir qu’elle reliait à deux chaines ...