Au service (pas st secret) de Madame (1)
Datte: 13/05/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... descendant du plafond, une par poignet. Je fus soulevée du sol. Étonnement, je ne ressentais aucune crainte. Mes chevilles furent largement écartées par une longue barre d’acier. Mes pieds ne touchaient plus le sol. Elle s’arma d’un martinet, visa mon ventre qu’elle cingla à plusieurs reprises avec forces. Puis, mon corps tout entier fut soumis à ce supplice. Coup après coup, je ne perdais pas de vue les yeux de Madame. Si je ne criais pas, je n’en pleurais pas moins de ces douleurs qui mettaient mes sens en ébullition. Puis, elle libéra momentanément mes chevilles pour mieux me les emprisonner par d’autres bracelets de cuir. Sous moi, elle poussa un chevalet. Lentement, elle me fit descendre. Avant que je ne touche le bois grossier, elle glissa un long et large vibromasseur en mon sexe et me lâcha d’un coup sur cette fine poutrelle de ce chevalet. Ma douleur fut vive quand mon sexe se retrouva écrasé par mon propre poids. Je crus perdre connaissance l’espace d’un instant. Elle passa une corde dans l’anneau de mes bracelets de cheville qu’elle passa par-dessus la poutrelle de bois en relevant mes jambes en arrière. À mon cou, elle me fixa un large collier de cuir munit d’anneaux. L’un après l’autre, dans le dos, elle fixa mes poignets à ce collier. D’une longue et fine cravache, elle cingla mon cul, mes seins, ma langue, le plat de mes pieds. En moi, le gode se mit à vibrer de manière aléatoire. La douleur était si vive que je ne pus m’empêcher de hurler de cette souffrance. ...
... Après de longues minutes, une sensation étrange se fit jour en mon corps tout entier. L’addition des coups et de ce vibromasseur, en moi, fut explosive, je n’hurlais plus de douleur, mais de plaisir. Jamais je n’aurais cru cela possible dans ma position. Aussi, elle cessa de me battre pour me caresser, m’embrasser tendrement. — Maintenant que tu éprouves ce que je ressens dans mes soirées quand je suis fouettée. Je vais te laisser réfléchir un bon moment sur ce chevalet. Je n’ai pas eu le temps de lui répondre que j’étais plongée dans le noir absolu. Je ne sais combien de temps je restais ainsi. Toujours est-il qu’au moment d’être libérée, j’avais perdu connaissance. Je me suis éveillée dans mon lit, un café tiède sur ma table de nuit. — Alors ma douce Manon, tu vas mieux ? — Je ne sens plus mon corps, Madame. — C’est que tu as joui tellement souvent pendant ton supplice que je n’ai pas de te peine à te croire. — Cela fait longtemps que je suis évanouie ? — Dans ce lit, une bonne heure. Aussi, j’en ai profité pour mettre à profit le point quatre de ton contrat. — Pardon ? — Oui, le point quatre. Il précise qu’après ta première punition, tu dois porter un anneau sur ton corps. J’ai fait venir un homme. Il ne t’a touché que là où c’était nécessaire. Touche ton capuchon de ton clito ! Une dernière chose, il t’a trouvée magnifiquement belle. — Merde, vous m’avez annelée mon clito ? — Impertinente, prends ça ! Je reçus une magistrale paire de claque amplement méritée pour m’être ...