1. Le changement


    Datte: 13/05/2019, Catégories: fh, fhhh, fdomine, fsodo,

    ... se glisse un doigt dans le cul. Elle se branle. Clément stoppe ses caresses pour profiter du spectacle. Elle lui demande de continuer à lui bouffer la chatte. Sans faire prier, il replonge son nez dans la fente luisante de ma femme. Elle jouit. Clément sort sa queue, elle s’en saisit puis le branle doucement. — Viens, je veux me faire baiser dans mon lit. Docilement, il la suit. J’attends un moment avant d’apparaître sur le pas de la porte. Il est allongé sur notre lit, nu aussi. Sophie s’occupe de son membre. Elle lèche sa tige sur toute la longueur, titille ses bourses avec le bout de sa langue. Jugeant la rigidité du méat satisfaisant, elle s’empale alors dessus. J’essaie de me faire discret. La situation m’excite, je suis à cinq pas de ma femme qui se fait mettre par un pote de fac ! Je suis hypnotisé par cette colonne de chair qui va et qui vient dans la chatte de ma femme. Comme d’habitude, je me branle. Sophie est déchaînée, sa croupe imprime un rythme intense. Soudain, elle ralentit la cadence, elle prend alors le membre de Clément et se l’enfile dans l’anus. Le rythme reprend, plus rapide encore. Elle m’interpelle : — Regarde comme il me défonce bien, il m’explose le cul ! Je garde le silence. Sophie jouit de nouveau. Clément aussi, dans un flot d’injures. Le corps de Sophie s’immobilise. Elle est en sueur. De petites mèches de cheveux se collent sur ses tempes humides. Ces détails qui m’échappaient auparavant m’interpellent maintenant. Je la trouve belle. Je la ...
    ... désire. Après un moment, elle se retourne vers la porte et me demande : — Pierre, mon chéri, nous avons soif, va nous chercher à boire. Je suis tétanisé. Est-ce un test ? Je prends immédiatement conscience que cette demande n’a rien d’anodine, qu’elle peut influer considérablement sur nos rapports futurs. Je ne réponds rien, je ne bouge pas. Devant mon mutisme, elle insiste plus sèche : — Eh bien, je me suis mal faite comprendre ? Je soutiens son regard, notre relation se joue à l’instant. Les secondes sont des minutes, j’ai chaud. Finalement je baisse les yeux, je m’incline. Je me dirige lentement vers la table de salon pas encore débarrassée. J’entends des murmures depuis notre chambre, aussitôt suivis par de petits rires. Je reviens dans la chambre, avec un verre d’eau dans chaque main. Sophie a repris le sexe de Clément dans sa bouche. Elle sent ma présence, elle interrompt sa fellation, d’un mouvement du menton désigne la table de chevet, et reprend son activité. Je m’exécute. Clément me regarde. Pas de traces de moquerie sur son visage, au contraire, je crois même y lire de la gêne. Immobile, j’observe ma femme qui aspire doucement le sexe encore flasque de son partenaire. Elle s’arrête de nouveau : — Merci Pierre, tu peux sortir maintenant, et referme la porte derrière toi. Dans un état second, je me retire et après un dernier coup d’œil, je referme à contre-cœur la porte. Je reste prostré, fixant la mince cloison de bois qui me sépare de Sophie et de son amant. Très vite ...
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