Le changement
Datte: 13/05/2019,
Catégories:
fh,
fhhh,
fdomine,
fsodo,
... les manifestations de plaisirs reprennent. Je colle mon oreille pour mieux entendre. Les sons me parviennent étouffés mais distincts. Sophie est en furie, Clément reste assez sobre et c’est sur demande de Sophie qu’il devient grossier. Je reprends mes activités manuelles, mon sexe ayant repris du tonus. Le temps passe, j’ai déjà éjaculé depuis longtemps, lorsque Clément sort de la chambre. Il est rhabillé. D’une voix à peine audible, il me remercie. Il évite mon regard, son embarras est maintenant visible. Il a hâte de partir. Il ajoute néanmoins, avant de sortir : — Sophie m’a demandé de repasser la semaine prochaine, si tu refuses je comprendrais. Avec véhémence, je lui rétorque : — C’est ça, va te faire foutre. Lorsque je pénètre dans notre chambre, il y fait maintenant très chaud, cela sent la transpiration ainsi que les effluves intimes des deux amants. Sophie est déjà sous la douche. Je m’assoie sur le lit. Elle ressort de la salle de bain quelques minutes plus tard dans un nuage de vapeur. Elle me sourit. J’attends qu’elle me dise quelque chose, n’importe quoi. Elle n’en fait rien, elle m’embrasse le front, puis se couche. Je l’imite, j’essaie de lui parler, je veux comprendre son comportement. La nuit passe, blanche en ce qui me concerne. Les jours s’écoulent. Depuis deux vendredis, il n’y a plus de cassette sur la table lorsque je rentre. Peut-être ne voit-elle plus Eric ? Je reste sur mon incompréhension, pourquoi cette défiance tout à coup ? Nous étions si proche ...
... depuis quelques semaines. Maintenant c’est à peine si nous nous parlons. Un soir elle m’annonce qu’elle sort seule, sans autres précisions. — Ne m’attends pas, ajoute-t-elle simplement. Je l’attends quand même, puis vers minuit, décide de me coucher, cherchant sans succès le sommeil. Elle rentre effectivement très tard. Je fais semblant de dormir. Elle se couche, son souffle régulier m’indique qu’elle s’endort rapidement. Je la regarde, je veux vérifier quelque chose. Sophie, comme à son habitude, a revêtu une nuisette de soie. Elle dort sur le dos, il est facile pour moi de diriger ma main vers son minou et de le palper. Il est encore poisseux de foutre. J’introduis un doigt. Sophie se réveille : — Pierre, pas ce soir, j’ai eu mon compte, ils étaient nombreux. Un coup de marteau au plexus m’aurait fait le même effet. D’un mouvement elle se détourne. J’ai envie d’hurler, de la secouer pour la faire parler. Je me dégonfle. Je prends la décision de la suivre lors de sa prochaine escapade nocturne. Cela ne tarde pas. Le week-end, alors que nous finissons notre repas du soir, je la vois se diriger vers notre chambre. Je l’observe se préparer. Petite robe noire très courte, qui recouvre à peine ses «Dim up», pas de culotte. — Tu vas où ?— Je rejoins des amis.— Je peux venir avec toi? Elle sourit. — Non, Pierre, pas ce soir, c’est une soirée privée, un autre jour peut-être. Je ne réponds rien. Je regarde la fin de sa préparation. Elle est super sexy, je m’attarde sur la courbe de ...