1. Juin 2342, l'érotisme du rêve à la réalité - I


    Datte: 14/05/2019, Catégories: fhh, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral double, fsodo, jouet, jeu, fantastiqu,

    ... un genou puis l’autre… me voici juchée. Je me cale bien et me cambre comme il se doit. — Très bien, voilà une belle salope en bonne position pour se faire copieusement baiser. La caresse qui suit ma colonne vertébrale provoque un frisson de tout mon corps, et visiblement une montée de la jauge à en croire la réaction de mes partenaires. — J’ai la bouche sèche vous n’auriez pas à boire ?— Mais il suffit de demander, si tu as soif nous avons tout ce qu’il faut… Chris présente sa queue entre mes lèvres et je l’avale. À peine remplie, ma bouche s’humidifie et commence la caresse, en surface au départ et de plus en plus profondément. Son sexe durcit encore au contact de mon palais, un peu de sperme s’en écoule, juste de quoi me donner un aperçu de son goût. Je me laisse aller au plaisir des sensations lorsque je sens un doigt travailler mon anus, une queue pénétrer ma chatte sans préavis, entamer une série de va-et-vient tranquilles pour commencer, puis s’accélérant au rythme de mes gémissements. Les spasmes m’envahissent et je suis bientôt incapable de poursuivre correctement ma fellation. — Applique-toi ma belle, ce n’est pas parce que tu prends ton pied que tu dois en oublier de sucer correctement ton deuxième partenaire !— Regarde, elle est en train de crever les plafonds des cadrans !— Allez, c’est bon pour le numéro trois. En route pour le quatrième round. D’après toi on en a pour combien de temps ? 10 ? 15 ?— Dix minutes… à mon avis dans dix minutes elle sera toute à nous ...
    ... pour la soirée. Regarde comment elle se complait dans son rôle de salope chaude et docile. Ce soir avec les potes elle va être comme un coq en pâte. Chris me présente son sexe que je lèche à grands coups de langues, passant largement sur les testicules puis le long du pénis, plus délicatement sur le gland. J’aime toutes ces textures différentes sur une si petite surface. Pendant ce temps, une main place une ceinture autour de ma taille et ajuste le Zirfax dans mon vagin, une languette couvrant le clitoris. Dès qu’il le branche je commence à gémir et la queue qui se laissait tranquillement lécher pénètre ma bouche pour la baiser sans sommation. Dans le même temps, l’autre queue m’offre une sodomie virile avec de longs et puissants va-et-vient. Je suppose qu’ils se calent sur le rythme affiché par le Zirfax, car à chaque coup je me sens pleine de toute part. Je peine à respirer sans savoir s’il s’agit de la fellation trop profonde, ou de la jouissance extrême. Je me fais baiser à un rythme effréné, et j’ai l’impression que le zirfax n’en finit pas de grossir en moi. Des picotements m’envahissent de la racine des cheveux à la plante des pieds, puis une puissante décharge traverse mon corps. Je pousse un cri venu du plus profond de moi-même… et je lâche tout. Le Zirfax s’arrête, je me roule en boule sur la table, et reprends doucement mes esprits. Je sens le casque relâcher sa pression, une main qui le retire. Je retrouve la vue, l’ouie, m’adapte à la lumière avant de m’assoir ...
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