1. Drague avec mes fesses (24)


    Datte: 15/05/2019, Catégories: Lesbienne

    ... Vendôme. Je commence à m’arrêter devant une vitrine. De magnifiques bagues brillent sous la lumière des spots. — Magnifiques, elles sont magnifiques. Je prends Carole par la main et l’entraine à l’intérieur, le magasin est encore vide. — Que fais-tu ? — J’ai envie de les voir un peu mieux, ne t’en fais pas, ils me connaissent, mes parents étaient de gros clients. Laisse-moi faire et surtout ne dis rien. Je vois arriver Martine, c’est une femme d’une soixantaine d’années qui me connait depuis toujours. — Bonjour Julie, comment vas-tu. — Très bien merci, je vous présente mon amie Carole, Carole, je te présente Martine, la responsable du magasin. — Enchantée mademoiselle. — Moi de même. — Bon, ça va pour les politesses, qu’est ce qui t’amène ma petite Julie. — Je cherche un solitaire. — C’est pour une occasion particulière ? — Je vous donnerais la raison dans un petit moment, que pouvez-vous me présenter ? — Je vais te présenter ce que j’ai. Martine nous présente plusieurs solitaires tous plus beaux les uns que les autres. Je surveille le visage de Carole, soudain il s’illumine à la vue d’une bague composée d’un diamant taillé à l’ancienne. Le diamant n’est pas très gros, mais il brille de tous ses éclats. Je demande à Martine de me le donner. Je me tourne vers Carole, lui prends la main gauche, m’agenouille, lui glisse la bague à l’annulaire. — Carole, veux-tu devenir ma femme et me prendre comme femme. Elle éclate en sanglots, tombe à genou, me prend dans ses bras. — Oui, oui, ...
    ... oui, oui, je veux être ta femme et que tu sois ma femme. Nous pleurons à genou dans le magasin dans les bras l’une de l’autre. Même Martine y va de sa petite larme. Nous nous relevons, Carole regarde sa bague. Je me tourne vers Martine. — Vous comprenez maintenant ? — Parfaitement ma petite Julie, je vos souhaite à toutes les deux un bonheur sans faille. Je vais payer la bague suivie par Martine. Arrivé dans le bureau Martine s’immobilise. — Tu es devenue magnifique ma petite Julie et surtout, tu as de magnifiques fesses, tu connais mes penchants, c’est un vrai supplice de les voir sans y toucher. — Qui vous en empêche ? Elle me regarde avec de grands yeux et s’approche. Je me tourne pour lui présenter mes fesses, deux mains se posent dessus et les explorent sous toutes les coutures. Elles les caressent, les soupèsent, les écartent, les tâtent, tout y passe, jusqu’à ce qu’une bouche vienne y déposer deux baisers. qjnqcckr — Magnifiques, vraiment magnifiques. — Je suis très heureuse de vous avoir fait plaisir, je vous dois combien ? Je paye la bague, vais rejoindre Carole qui ne cesse de regarder sa bague et sortons de la boutique. — C’est trop beau Julie, jamais je ne pourrais t’offrir l’équivalent. — Qui te le demande. Nous passons la journée dehors, faisons quelques courses, évidement, j’achète du champagne pour fêter ça avec les filles. Carole n’a d’yeux que pour sa bague et n’arrête pas de me dire qu’elle est trop belle. Le soir, à notre arrivée, les filles sont déjà là. ...