1. L'apprentie pépiniériste


    Datte: 16/05/2019, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, laid(e)s, amour, volupté, intermast, Oral 69, pénétratio,

    Nous étions allés, avec ma femme, chez un horticulteur, pépiniériste, paysagiste -appelez-le comme vous voulez-, pour préparer les plans de notre futur jardin. L’homme, un ami d’enfance de mon épouse, nous a accueillis à bras ouverts et nous a fait faire le tour de la propriété… Toujours est-il qu’au détour d’une allée de conifères, alors que ma moitié conversait à bâtons rompus avec son ami, j’ai repéré Thérèse, une petite jeunette d’une vingtaine d’années qui travaillait là-bas comme apprentie. Elle était agenouillée dans des bacs de plantes vertes et s’affairait. Revêtue d’une blouse sale et sans forme, elle m’a tout de suite attiré. Thérèse, c’est tout sauf un top modèle. Un visage rond et rouge, criblé de boutons d’acné, qu’encadrent des cheveux incroyablement gras; elle est plutôt grassouillette mais sans forme particulière, elle doit avoir une poitrine plutôt mollasse et tombante. Rien que de la voir s’activer dans le massif, ça m’a tout de suite fait bander. Pourquoi cette attirance pour cette fille plutôt quelconque ? Pour tout dire, ma femme non plus n’est pas un canon de beauté, ce n’est pas le genre de femme sur laquelle les hommes se retournent dans la rue. D’aussi loin que je me rappelle, j’ai toujours été attiré par les filles très ordinaires et de plus en plus, au fur à mesure que le temps passait. Ma première expérience, c’était en Angleterre, après une boum cosmopolite. La fille était un grand cheval tout desséché, elle avait un incroyable râtelier qui lui ...
    ... sortait de la bouche, on aurait presque dit un dentier. Elle restait à l’écart avec une de ses copines, presque aussi moche qu’elle. Personne ne les invitait à danser. Mais moi, elle m’excitait. C’est elle que j’ai choisie pour ma toute première fois. Elle était beaucoup plus âgée que moi, mais n’avait probablement pas beaucoup plus d’expérience. Nous étions très malhabiles. Par la suite, j’ai eu surtout des aventures avec des filles un peu décalées, celles qui n’intéressent personne et sur lesquelles personne ne fantasme. Mon psychanalyste vous dirait que c’est à cause d’un immense sentiment d’infériorité. Je n’ai pourtant pas cette impression : sans être un beau mec, j’estime être comme tout le monde, ni plus ni moins, dans la moyenne des hommes qui m’entourent. Non, si je m’intéresse à ce genre de fille, c’est peut-être parce que je me dis qu’elles doivent être délaissées, qu’il doit leur manquer quelque chose et que je peux peut-être le leur apporter. Une fille canon, elle a déjà tout pour elle, elle est trop courtisée. Et puis j’ai horreur de ces femmes qui font des chichis, qui jouent les précieuses, qui abusent de leur beauté. C’est un monde où je n’ai pas ma place, la concurrence des mâles - eux aussi font les beaux. Je préfère être plus modeste mais rester dans un monde bien réel, avec de vraies femmes qui ont de vraies envies, de vrais désirs, de vrais problèmes, de vraies limites. Ce penchant pour les femmes sans grâce est, à mon sens, beaucoup plus une aversion ...
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