1. L'apprentie pépiniériste


    Datte: 16/05/2019, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, laid(e)s, amour, volupté, intermast, Oral 69, pénétratio,

    ... retenue. Je sentis mes jets de sperme s’écouler par saccades. Elle a crié si fort que j’ai cru un instant qu’elle s’était fait mal, mais ce n’était que la jouissance qui l’avait terrassée. Je suis retombé lourdement sur elle, pour à nouveau l’embrasser. Après de tels ébats, il n’y avait rien à ajouter, aucune question à se poser, c’était évident que notre entente était parfaite. Nous avons baisé le restant de la soirée. J’ai téléphoné à ma femme, j’ai prétexté un voyage d’affaire, je ne sais pas si elle l’a gobé. Mais comme cela faisait longtemps que cela ne m’était pas arrivé, elle n’a trop rien dit. Je ne pensais pas que ce petit huit à dix aurait pu la choquer. Ce qui aurait pu la choquer, par contre c’est si elle avait appris que je m’arrêtais très souvent chez Thérèse. Depuis que celle-ci a perdu son emploi de pépiniériste, c’est encore plus facile, je sors plus tôt le soir et nous n’arrêtons pas de baiser. D’autres jours, nous sommes plus sages et je me contente de la dorloter. J’aime cette fille. J’ai presque envie de divorcer pour l’épouser, même si elle est très loin d’avoir le niveau intellectuel de ma femme, même si chez elle, c’est toujours aussi bordélique, même si elle ne fait pas plus d’efforts pour ...
    ... s’habiller. Mais ce qu’elle me donne, c’est beaucoup mieux : elle me donne l’entente parfaite. Dire qu’avant de me connaître, elle n’avait connu que des rustres qui la prenaient pour fille facile, ils n’arrêtaient pas de l’insulter. Elle était tout juste bonne à se faire « remplir tous les trous ». Une bonne pipe, un coup de bite et puis bye bye, peu importe qu’elle n’ait pas joui. Et rares étaient ceux qui l’avaient d’ailleurs vraiment fait jouir, elle était souvent obligée de se finir à la main après leur départ. En tout, elle en avait connu une petite dizaine, tous des gars du village, et pour la plupart des hommes mariés. Ils revenaient de temps à autres pour remettre le couvert, lorsqu’ils avaient les couilles trop pleines, trop heureux de pouvoir ainsi se satisfaire à bon compte. Quel gâchis, quand on découvre que cette fille est au contraire d’une grande richesse ! — Je crois que tu devrais changer de village, comme ça ils ne reviendront pas ! lui dis-je un soir. Depuis, j’ai trouvé une petite bicoque de l’autre côté de la vallée, c’est la prochaine étape, elle va déménager. Je veux qu’elle soit toute à moi, je veux garder l’exclusivité. Et peut-être qu’ensuite je vais divorcer pour l’épouser. Quelque part, c’est mon rêve. 
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