Dame Erika (6)
Datte: 16/05/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Chapitre 6 : Le plaisir de Dame Erika - suite LIOUBOV Elle ont vu cette boule transparente arriver, passer par-dessus les remparts avec un sifflement strident accompagné d’un vent violent, puis elle est restée là, immobile au-dessus du sol, semant la panique partout. Les gens avaient crié ; les gardes avaient tenté de la percer de leur lance et de leurs flèches, mais rien n’y avait fait. On pouvait apercevoir cinq personnes à l’intérieur : quatre entièrement nues, une autre vêtue d’une longue cape qui masquait même son visage. Alerté par l’évènement, le seigneur était accouru avec sa garde en tenue de combat, épée à la main, casque sur la tête, cotte de mailles et cuirasse sur le dos, prêt à affronter cet ennemi aussi étrange qu’inconnu. Au bout d’un moment, la boule s’était mise à bouger, faisant pousser des cris de surprise et d’effroi à tous. Croyant leur dernière heure arrivée, toute la populace présente s’était mise à genoux en suppliant Dieu de les épargner. Certains criaient, des femmes pleuraient ; les gardes, lances pointées vers l’objet, ne bougeaient pas d’un pouce. Puis la sphère s’était remise à bouger, provoquant des cris « Ah ! » de stupeur et d’inquiétude. Doucement, elle était descendue, et au moment où elle avait touché le sol, elle avait disparu, évaporée, créant la confusion générale et laissant quatre corps nus allongés inertes sur le sol : deux femmes et deux hommes, mais aucune trace de la cinquième, disparue, volatilisée. Les gardes s’étaient ...
... littéralement jetés sur eux, et sur ordre du seigneur les avaient emmenés dans la salle de torture afin d’être certains qu’ils ne feraient de mal à personne. Les deux servantes sont persuadées que ces gens sont des dieux et qu’elles ont été élues pour on ne sait quoi. Ils sont nus. Les deux hommes les appellent de la main ; vont-elles connaître une grossesse et enfanter aussi des dieux ? Un peu apeurées, inquiètes mais curieuses, elles se laissent prendre la main qui les emmène directement au contact des membres virils. Des regards inquiets plongent dans les yeux des Apollons, mais ceux qu’ils leur renvoient est tendre et doux. Mises en confiance, elles se risquent à caresser ces membres attirants. Elles les massent avec délicatesse, touchent, soupèsent, palpent, masturbent aussi. Les deux garçons en profitent pour remonter la robe des belles et découvrent la rondeur et le rebondi de jolies fesses à la peau douce et soyeuse. Les deux garçons font les mêmes gestes presque simultanément ; une longue inspection de ces corps juvéniles et doux ne fait qu’augmenter leur érection. Les deux Apollons reproduisent les mêmes gestes au même moment. Une main quitte les fesses d’une belle servante pour lui prendre la nuque ; ainsi bloquée, elle ne peut reculer devant l’assaut des lèvres du beau mâle qui va lui faire découvrir le plaisir d’un baiser fougueux. Elles n’ont jamais connu tel acte, et découvrent l’origine de l’expression « embrasser comme un dieu ». Les dieux viennent tout simplement de ...