1. Dame Erika (6)


    Datte: 16/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... les ensorceler. Elles sont prêtes à tout. Totalement soumises, elles s’abandonnent ; peu importe ce qui adviendra. Elles se retournent, soulèvent leur robe, et sans demander d’autorisation viennent s’empaler sur le mandrin tendu à son maximum. Agrippées au dossier du fauteuil placé devant elles, pilonnées à grands coups de boutoir, elles continuent d’admirer le spectacle de leur maîtresse aux prises avec les deux chattes en chaleur, ou plutôt les deux Aphrodites. Toutes les trois gémissent, couinent, halètent. Des « Sloop… Ah… ! Ah oui ! Humm… Humm, c’est bon… » se font entendre. Le spectacle ne s’arrête pas ; le moment où Dame Erika va être traversée par une tornade de plaisir est imminent : les deux femmes vont porter l’estocade. Tina s’applique à cajoler de sa langue et de ses mains les globes mammaires et les mamelons tendus et pointus de Dame Erika. Élise introduit un doigt dans le fourreau inondé de cyprine pour atteindre le bouton qui va tout déclencher. Un doigt pénètre doucement, ressort. Sa langue s’active avec frénésie sur le clitoris de la belle. Le doigt rentre à nouveau ; un second l’accompagne. Ils tournent à l’intérieur, explorent avec dextérité cette grotte inconnue pour finalement ressortir. Déçue par l’abandon de son vagin, la belle dame souffle un « encore ». L’appel est entendu ; le moment est proche. Ce sont maintenant trois doigts qui se présentent à l’entrée de la caverne devenue une bouche gourmande de plaisir. N’ayant aucune idée de ce qui va lui ...
    ... arriver, elle s’ouvre pour engloutir tout ce qui se présente à elle. Les doigts agiles reprennent l’exploration devenue plus précise, le point adéquat va être atteint. L’exploration touche à sa fin ; le bouton, le fameux point G, c’est lui qui va déclencher la production d’endorphines et emporter la belle dans un plaisir intense et puissant. À peine effleuré, une tempête se déclenche, envahissant le ventre de Dame Erika qui laisse échapper des cris de plaisir. Elle ondule, se cabre, agrippe l’édredon, et lâche un râle de plaisir. Son chevalier ne lui a jamais procuré une telle jouissance ; jamais elle n’a connu une telle sensation, une telle puissance orgasmique. Au bord de l’évanouissement, sa jouissance est longue, interminable. Elle se cabre sous la puissance des secousses ; son bassin se soulève, décolle du lit pour retomber lourdement tel un animal blessé. Pour conclure, Élise se lance dans une embrassade aussi passionnée que fougueuse. Tina reprend un cunnilingus attentionné accompagné d’un doigté vaginal qui emporte la belle dans un nouvel orgasme presque aussi puissant que le premier, puis s’arrête. La belle Dame Erika savoure cet instant les yeux fermés. N’y tenant plus, les garçons explosent dans l’étui qui leur a été si gentiment proposé, et les servantes à leur tour laissent éclater leur bonheur en poussant des râles et des cris de plaisir. C’est dans un feu d’artifice orgasmique général qu’ils viennent de signer un pacte de complicité, unis non pas par le sang, mais ...