1. Terma 24 – Le bus du souk et le nouvel amant de ma femme


    Datte: 16/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    Après nos vacances, ma femme et moi, à l’étranger, nos relations sexuelles se sont nettement améliorées. Ma femme, ayant eu sa totale liberté de ma part et affamée de sexe dans un environnement érotique libre, s’est donnée à fond. Elle a eu deux amants, pour sa chatte et sa terma, le premier un jeune marchand de légumes Algérien et l’autre un black dont la bite était formidable. Chaque après-midi, pendant des heures, elle se faisait baiser et sodomiser dans leurs baraquements. J’ai été un voyeur permanent et en cachette des frasques de ma femme, de ses performances et de ses cris de plaisir. De plus, mon observation, de ma petite cachette, des grosses bites de ses amants en action m’ont totalement excités, emballés sexuellement que je me suis découvert désirant des sodomies pour moi-même. Alors, je n’ai pas hésité et j’ai réussi à me faire plaisir avec chacun des deux hommes, comme ma femme et sans qu’elle le sache. J’ai été dépucelé puis rassasié de bites jeunes, dures et infatigables. Nous nous sommes fait plaisir durant tout notre séjour. A notre retour au pays, nos relations sexuelles sont devenues normales. Je baisais presque chaque nuit ma femme mais parfois avec moins de réussite en vigueur et en sperme. Elle m’a même permis de la sodomiser plusieurs fois, ce que je réussissais mieux car sa terma m’affolait plus que sa chatte. Mais, malgré ma bonne volonté, je n’arrivais pas à satisfaire tous les besoins de ma femme car elle était insatiable depuis notre retour. Il ...
    ... fallait qu’elle trouve un autre amant plus performant, mais chez nous, c’étais une mission difficile et dangereuse mais pas impossible. La première occasion, ce fut lors de notre départ, un mardi, vers le souk hebdomadaire de la ville. Dans le bus archi bondé, nous étions serrés et je m’étais placé dans le dos de ma femme. Mon ventre était contre elle et mon bas ventre collé à son gros derrière. Elle avait son habit traditionnel et le visage à moitié caché par son voile. Mais comme elle était bien charpentée, le vêtement arrivait difficilement à cacher les contours harmonieux de son corps, surtout le volume de ses seins et la belle rondeur de son derrière. C’était une femme que les hommes remarquaient avec désir mais discrétion. En observant les voyageurs, justement, j’ai remarqué un homme qui s’intéressait, par ses regards discrets mais répétés, à ma femme. Il devait avoir la cinquantaine, son visage à la barbe mal rasée de plusieurs jours semblait viril et volontaire. Il était habillé d’une gandoura large par dessus sa chemise ouverte au col et de son gilet et un chèche couvrait sa tête. J’ai pensé qu’il ressemblait aux éleveurs ou marchants de moutons et qui allait au marché pour l’achat éventuel de quelques bêtes. Pour l’exciter encore plus, je me suis collé à fond sur le derrière de ma femme et j’ai continué plusieurs fois, quelques mouvements et gestes appuyés sur ses fesses. Et effectivement, j’ai constaté que l’homme m’avait remarqué car, lorsque nos regards se sont ...
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