1. Terma 24 – Le bus du souk et le nouvel amant de ma femme


    Datte: 16/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... croisés, il m’a adressé un clin d’œil complice. Je savais ainsi que j’avais piégé le futur amant de ma femme, si je savais y faire. Alors, j’ai répondu à son clin d’œil et j’ai continué à me frotter sur le cul de ma femme lui soufflant à l’oreille que c’etait à cause du bus qui tanguait. Ensuite, j’ai trouvé l’occasion pour me séparer d’elle un peu plus loin. Et ce que je pensais arriva immédiatement. L’homme s’est progressivement avancé dans la foule pour prendre ma place contre le cul de ma femme. Tout en restant assez discret, Je voyais qu’il le faisait avec insistance. Comme je l’observais, j’avais constaté qu’il donnait de légers coups de son ventre contre le derrière de ma femme. Son insistance étant assez poussée, ma femme s’est retournée vers lui et, constatant que ce n’était pas moi, elle lui a lancé, discrètement, quelques mots, certainement pas aimables. Ensuite, elle m’a cherché du regard, mais je lui ai souri légèrement de loin puis je lui ai fait de la bouche et de la main, le geste de rester tranquille et patiente, alors elle n’a pas bougé. J’étais certain maintenant que l’homme devait bander fortement et que ma femme ressentait la pression de sa bite contre ses fesses. Elle m’a encore regardé et je lui ai encore répéter par geste de rester tranquille. On ne voulait pas de scandale dans la foule. Pendant plusieurs minutes, l’homme continua à se coller au derrière de ma femme et à lui faire sentir nettement, par ses légers mouvements du bas ventre, qu’il ...
    ... désirait sa terma pour son zob. Un moment, j’ai vu l’homme se pencher légèrement sur ma femme pour lui souffler quelque chose à l’oreille. Elle s’est aussi retournée vers lui pour lui répondre, mais ses yeux, au dessus de son voile, ne me semblaient pas courroucés. J’étais donc sur que, ayant eu mon accord, elle savourait cette bite qui se frottait contre son cul. La connaissant bien, j’étais certain que sa chatte devait déjà mouiller à fond et que sa terma palpiter de désir. On a continué ainsi jusqu’au souk. Dés sa descente du bus, elle m’a rejoint et m’a confirmé que l’homme se collait de la bite à son derrière et qu’elle lui avait demandé, en vain, de s’éloigner et qu’elle l’aurait giflé si elle n’avait craint le scandale pour moi. Je l’ai félicité de sa sagesse, mais je lui ai demandé, doucement en me penchant sur elle, si les pressions de l’homme ne l’avaient pas excitée. Elle m’a avoué, en riant des yeux, qu’il l’avait chauffé à fond. J’ai insisté pour savoir si elle avait bien senti la bite de l’homme. Alors, sans hésiter, elle m’a avoué que la bite de l’homme semblait grosse et dure à son contact et qu’elle lui piquait tellement le derrière qu’une partie s’était un peu enfoncée entre ses fesses malgré leurs vêtements. Pour la rassurer sur mes intentions, j’ai préféré rire et plaisanter sur ce malheureux. Donc j’en conclus qu’elle était à point pour se faire baiser et sodomiser par cette bite qui lui plaisait déjà par le contact vestimentaire. J’étais très excité et il ...
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