1. La colombe est née


    Datte: 18/05/2019, Catégories: ff, jeunes, médical, handicap, amour, volupté, Oral fgode,

    ... Il s’agit d’une occasion particulière ?— Ne fais pas l’innocente, tu sais parfaitement bien que ce soir…— Ce soir…— C’est notre dernier… Chloé ne put finir sa phrase. Sa gorge se serrait, un point dans la poitrine l’empêchait de respirer normalement. Ses yeux s’embuèrent. Des larmes commencèrent à couler le long de ses joues. — Non ! Ce n’est pas notre dernier soir.— ???— Après, je t’expliquerai. Marie s’assied sur le lit, pose sa main gauche sur le tissu à la fois chaud et frais. Elle glisse sur le satin et remonte vers la poitrine. Les tétons sont déjà tendus. Des frissons courent le long de ce corps. Les doigts effleurent ces extrémités durcies par le plaisir avant de reprendre le chemin du ventre, cherchant la frontière entre la fin du tissu et le début de cette peau connue et si douce. Le contact est établi, l’endroit est chaud et invite à l’exploration. Centimètre après centimètre elle reprend l’ascension, repartant à la conquête des ces douces collines, espérant cette foi en prendre entière possession. La main finit par capturer un sein, le pouce s’occupant du téton. La peau se tendait, le téton se durcissait, la poitrine se soulevait rapidement. Marie se pencha et posa ses lèvres sur celles de Chloé. Les lèvres se soudèrent, les bouches s’ouvrirent, les langues se mêlèrent, se lièrent, entamant un ballet frénétique, les cœurs battants plus forts, les respirations devenant plus courtes. Les caresses, de part et d’autre, se faisaient plus insistantes, les mains ...
    ... enserrant, pétrissant, caressant ses seins gorgés par le plaisir. Les lèvres se dessoudèrent, les bouches se séparent, se dirigeant vers ses fruits arrivés à maturation. Marie se décala, embrassant le ventre qui s’offrait à elle. Fit descendre le drap, dévoilant un magnifique boxer, bordeaux lui aussi, tout en dentelle, laissant voir autant qu’il cachait. Délicatement elle fit lever le bassin pour faciliter l’enlèvement de ce rempart, convoitant ce qui se trouvait derrière. Une fois l’obstacle éliminé, elle reprit ses baisers, s’appliquant à ne laisser aucun recoin inexploré. Sa bouche et sa langue couvraient et goûtaient chaque parcelle de ce territoire totalement dénudé. Cette nouveauté augmenta sa curiosité. Elle finit par arriver sur le bourgeon d’amour, mais le délaissa aussitôt pour glisser directement entre ses lèvres charnues et nues. Sa langue creusa le sillon, délogeant tous les plis de son intimité, trouvant l’entrée de son antre, s’y engouffrant aussitôt, avide d’y retrouver ce trésor tant convoité, cet élixir d’amour. Chloé s’était ouverte au maximum, permettant ainsi à Marie de pouvoir la fouiller le plus profondément possible, appliquant ses mains sur la tête de celle-ci afin d’augmenter encore plus la pression. Un doigt chercha à déloger le bouton d’amour en le caressant, le malaxant. Un autre doigt se fit plus inquisiteur et se présenta à l’entrée de sa grotte, suintante de plaisir. — Non pas avec tes doigts. Prends-le ! Chloé tendait à Marie le cadeau que celle-ci ...