La colombe est née
Datte: 18/05/2019,
Catégories:
ff,
jeunes,
médical,
handicap,
amour,
volupté,
Oral
fgode,
... lui avait offert. Elle prit le gode, le porta à sa bouche et commença à le lécher, le sucer, le couvrant de salive. Quand elle estima qu’il était prêt, elle le présenta à l’entrée de ce fourreau de chair, palpitante, vivante, avide de l’engouffrer. Le corps était tendu, la respiration courte, on sentait toute la tension due à l’attente de ce moment, comme dans l’attente d’une délivrance. Au fur et à mesure que le gode la pénétrait, tout son être se relâchait, savourant, se délectant, des sensations qui l’envahissaient. Lentement le mouvement de va-et-vient commença, lentement la jouissance augmenta. Son amante en profitait pour lui lécher et mordiller son bourgeon gorgé et bandé. Le mouvement se fit un peu plus rapide, la jouissance augmenta encore. Le corps ondulait, accompagnant le flux et le reflux de ses vagues qui petit à petit la submergeaient. Le mouvement se fit plus rapide, plus fort, plus appuyé. Des tréfonds de son être la jouissance s’amplifia, se déversa, la parcourut complètement, se répandant dans chaque cellule, submergeant tous ses sens, la transportant au nirvana. Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier. Ses mains agrippèrent le poignet qui tenait le gode et elle se l’enfonça d’un coup sec, se donnant ainsi le coup de grâce. La jouissance explosa alors en elle, s’évadant, ruisselant sur ses cuisses. *** Pantelante, elle laissa retomber mollement ses jambes de chaque côté du lit. Reprenant petit à ...
... petit ses esprits, calmant sa respiration. Elles s’embrassèrent langoureusement, amoureusement. — Marie, je t’aime.— Moi aussi ma puce, je t’aime.— Marie ?— Oui ?— Comment va-t-on faire ? Qu’allons-nous devenir ?— Tu viens habiter chez moi.— Je…— Oui ma belle ! Tu viens habiter chez moi ! Avec moi !— Mais ?…— Mais quoi ?— Je veux dire…— J’ai tout arrangé. Ils sont d’accord. Ce ne fut pas facile, mais ils ont compris les sentiments qui nous unissaient. Et puis tu es majeure et donc libre de vivre où bon te semble. Ils viendront demain matin pour ton départ. Des larmes coulaient abondamment de Chloé. Des larmes, oui, mais de joie, de bonheur. Ses rêves se réalisent. La peur, l’appréhension, qui grandissait en elle dans l’attente du cauchemar de la séparation, de leur séparation, s’évanouit, disparut en un instant, laissant la place à la vie, à l’amour. *** On frappa à la porte de sa chambre, le chirurgien passa, fit sa visite de sortie et lui souhaita une bonne chance. Ses parents étaient là, Marie était là. Dans la même journée, au même instant, elle quittera cette chambre, cet hôpital, dira adieu à sa vie de jeune fille en disant au revoir à ses parents et embrassera sa vie de femme en embrassant son amante. Une nouvelle vie s’offrait maintenant à elle et elle savait déjà ce qu’elle allait en faire. Il y avait tant d’amour que lui avait donné Marie qu’elle n’avait pu lui rendre ! Oui ! Elle lui rendrait tout, et au centuple !