1. Offert à mon admirateur


    Datte: 18/05/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... son appartement ouverte, il me fit signe d'entrer. "Après toi." Nous nous installâmes dans le canapé et reprîmes nos discussions. Je sentais qu'il me jaugeait. Il attendait quelque chose. Pourtant moi, timide, frileux, je n'osais pas faire le premier pas. J'avais peur. Que devait-il penser ? Que je n'étais qu'une allumeuse qui n'a que de la gueule ? Que je l'avais chauffé sur internet pour finalement me défiler ? C'était trop pour moi, je surmontai ma pudeur et m'approchai de lui pour poser mes lèvres sur les siennes. Cela me demanda un effort incommensurable. Il se recula, sourit et me dit : "Il était temps. J'ai cru que tu ne te lancerais jamais." Il me saisit le menton d'une main, la gorge de l'autre, et pressa ses lèvres sur les miennes, forçant sa langue dans ma bouche. "Je veux que tu ailles te doucher maintenant." Je m'étais déjà lavé avant de partir, mais le ton sur lequel il avait prononcé son injonction ne donnait pas envie de négocier. Je me levai, et me dirigeai dans la direction qu'il me pointait du doigt, fermant la porte derrière moi une fois entré. À peine avais-je ôté déboutonné ma chemise, qu'il toqua à la porte. J'ouvris, étonné. " - Je peux savoir ce que tu fais ? - Eh bien, je me douche. - Bon. Je vais reprendre. Je t'avais dit de me signifier quand tu serais prêt à t'offrir à moi. Nous sommes bien d'accord ? - Oui. - Alors si tu t'offres à moi, tu n'as rien à me cacher. Considère que ce verrou n'existe pas." Penaud, j’acquiesçai de la tête. Je finis ...
    ... de me déshabiller, et pénétrai dans la cabine de douche. La fraîcheur de l'eau sur mon corps tendait mes tétons, et me donnait la chair de poule. De temps à autre je jetais un œil par la porte ouverte, pour voir Lucas qui était retourné s'asseoir dans la canapé et me regardait avec insistance. Dos à lui, frottant ma peau tendue avec le savon qui était à ma disposition, je finis par me prendre au jeu. Je me caressais, écartant les fesses pour nettoyer bien en profondeur. Je fis même tomber le savon, sans le faire exprès je l'avoue, me contraignant à me pencher afin de le ramasser. Lorsque j'eus fini, j'entendis ses pas se rapprocher sur le sol. Je me retournai pour le voir, posté devant la cabine. Il ouvrit la cabine et me dit sèchement : " - C'est bien. Mets tes mains sur le mur, et tends tes fesses vers moi." Il s'approcha et glissa ses mains sur mon corps, appuyant légèrement sur le bas de mon dos, afin de me faire cambrer. Il passa ses mains sur mes épaules, puis sur mon torse, s'attardant de l'une sur mon téton, glissant les doigts de l'autre dans ma bouche, non sans forcer l'entrée. La situation était très embarrassante, j'étais nu, physiquement en effet, mais également à nu psychologiquement, alors que lui était habillé, en position de force. Ma pudeur réduite à néant, littéralement offert, comme il me l'avait promis. Ses mains descendirent jusqu'à ma taille. Il me branla brièvement, puis dirigea ses deux mains pour palper fermement mes fesses. " - Tu as un magnifique ...
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