1. Offert à mon admirateur


    Datte: 18/05/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... développer pour te montrer tes progrès. Peut-être que je les montrerai à quelques personnes aussi, si tu me donnes ton accord." Dans l'état de fébrilité où il m'avait plongé, il aurait pu me demander de les afficher sur la Tour Eiffel. Je me contentai d'acquiescer du chef. Il posa son appareil, et me lança sèchement. " - Bien. Face contre terre, le cul levé, cambre-toi bien." Je m'exécutai sans discuter. " - Il faut que je t'explique quelque chose. Je vais maintenant te donner une fessée. Il faut bien que tu comprennes que la fessée que je vais te donner n'est pas une punition. Avec l'expérience, tu apprendras à déterminer lorsque je te donne une fessée, s'il s'agit d'une punition, ou bien d'une récompense. Ni la quantité, ni l'intensité ne doivent compter pour toi : seul mon intention compte. - Mais alors... Pourquoi me l'infliger s'il s'agit d'une récompense ? - Tu t'es offert à moi, et je vais devenir le Maître qui t'éduque. Tu dois apprendre à recevoir tout ce qui vient de moi comme il se doit. Si je décide de te faire du mal, tu dois être capable de le recevoir comme un bonheur. Retiens également que tu seras, lors de nos séances, ma propriété, et que je n'ai par conséquent aucun intérêt à détériorer ma propriété." J'étais rassuré. Je lui souris tendrement. " - Au contraire, je m'occuperai bien de toi. Je serai sévère mais juste. Tu devras t'en montrer digne, et faire preuve de gratitude. - J'ai compris." Sur ces mots, je replaquai ma tête contre le sol, et déclarai : " ...
    ... - Je suis prêt !" Il s'accroupit à mes côtés et palpa fermement mes fesses, presque au point de les pincer. " - Excellent. Je veux que tu comptes à haute voix." Il caressa tendrement ma fesse droite, puis la gauche. Puis, sans prévenir m'envoya un grand soufflet sur l'une, puis l'autre. Je ne pus retenir un petit gémissement. " - Une ! Deux !" Il enchaîna, sans jamais baisser d'intensité. " - Trois... Quatre ! Cinq ! Six... Sept !" Je sentais progressivement mon cul s'échauffer, rougir sûrement. " - Dix-sept... Dix-huit... Dix-neuf... Vingt..." Je commençais à me demander quand allait-il s'arrêter. " - Quarante... Quara... Quanrante-et-un... Pitié, je n'en peux plus !" Mais il continuait... Sans s'arrêter, en rythme, régulier. De temps à autres il en mettait une plus forte que les autres, me faisant plier sous la douleur. Il s'empressait alors de tirer sur mon collier de fortune pour me forcer à reprendre ma position. Finalement, au bout de mes capacités, je lançai avec dépit : " - Par pitié je ferai tout ce que tu voudras !" Il continua plus fort que jamais pendant une petite dizaine de fessées, puis déclara : " - Bon ! Tu as bien tenu. Cependant tu as fait une grossière erreur." Je le regardai, partagé entre l'incompréhension et la douleur de mon fessier qui dorénavant me brûlait. " - Je ne t'ai jamais autorisé à me tutoyer. C’est pour cette raison que j’ai continué." C'était cependant évident... J'avais tellement honte, mon visage s'empourpra et je me répandis en excuses, ...
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