Une grande professionnelle
Datte: 18/05/2019,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
médical,
vacances,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Masturbation
sm,
confession,
initff,
... fois de plus, elle fit preuve d’une conscience professionnelle hors-norme et passa un long moment à me détailler du regard en souriant, s’attardant sans compter sur mes seins, sur mes cuisses, sur la petite touffe noire en bas de mon ventre, sur mes fesses. — Vous êtes vraiment ravissante, la nudité vous va très bien. Maintenant, suivez bien ce que je vais faire. Elle commença par caresser mes aisselles avec le dos de ses mains et avec ses ongles. Puis elle palpa, frotta, appuya et finit par enfoncer ses doigts profondément, jusqu’à me faire mal. — C’est bien, pas de ganglion, commenta-t-elle. Par contre, je n’aime pas votre épilation, Mademoiselle Emilie. Là, elle exagérait. Je veillais à être toujours impeccable sous les bras. Elle continua. — Les aisselles trop lisses sont sans caractère. J’aime quand on y devine le piqueté d’une pilosité naissante, quand quelques minuscules ébauches laissent imaginer ce que donnerait la nature si elle reprenait ses droits. Malgré vos cheveux blonds et si j’en crois ce que je vois sur votre pubis, mademoiselle Émilie, ces adorables creux devraient chez vous s’enrichir d’un semis de petits points du plus joli noir. Y recueillir les gouttelettes parfumées de votre odeur lorsque la rosée de la transpiration s’y accroche serait pour moi un pur bonheur. Qu’est-ce qu’il ne fallait pas entendre ! Maintenant, elle passait en mode poésie… Elle insista. — Accepteriez-vous de faire le nécessaire pour me satisfaire ? Je vérifierai dans quelques ...
... jours.— Oui, mademoiselle l’infirmière, répondis-je. La prochaine fois, je me présenterai devant vous, épilée comme vous le souhaitez. Elle sourit. — Oui ! C’est exactement cela. Vous préparer comme je le demande et vous mettre nue lorsque je l’exige. Je vous félicite pour votre docilité. Voyons maintenant si vous resterez aussi soumise pendant l’examen de vos seins. Elle les prit à pleine main, les palpa, les malaxa, les soupesa. Elle caressa du bout des doigts mes aréoles, en examina chaque irrégularité puis pressa mes tétons pour voir si rien n’en sortait. — Avez-vous ressenti une douleur ?— Non, Mademoiselle l’infirmière.— Ah ? Étonnant ! La pression des mamelons est plutôt déplaisante habituellement ! Peut-être présentez-vous un trouble de la sensibilité à ce niveau ? Voyons, ressentez-vous quelque chose de particulier lorsque votre partenaire vous caresse le bout des seins ?— Oui, répondis-je évasivement, troublée par cette question.— Pourriez-vous être plus précise dans votre réponse, mademoiselle Émilie ? Que sentez-vous exactement ?— C’est… c’est… agréable.— Sans plus ?— Ça m’excite, mademoiselle l’infirmière.— Hum… il vous tète parfois ? Ça, c’était bien une question de la mère Alizée ! — Oui… euh… oui.— Et il vous mordille ?— Oui… cela arrive… mais tous les garçons aiment bien ça je crois. Alizée me reprit brutalement. — Ce n’est pas le sujet ! Contentez-vous de répondre aux questions, s’il vous plait ! Et ce n’est jamais douloureux ?— Non, pas trop… enfin si… mais juste ...