Une grande professionnelle - Histoires de Sexe

Une grande professionnelle

... des fois… Elle fit mine de réfléchir. — Hum… vous ne m’aidez pas beaucoup. L’interrogatoire n’est pas très contributif. À votre âge, une anomalie de la sensibilité des tétons serait fort ennuyeuse. Elle pourrait compromettre gravement votre vie sexuelle. Et je ne parle même pas de l’allaitement quand vous aurez un enfant ! J’essayais d’argumenter. — Non, non, je n’ai aucun problème de ce côté, mademoiselle l’infirmière.— Je n’en suis pas si certaine. Et il est de mon rôle de professionnelle de tout vérifier, dit-elle avec un petit sourire. Elle s’approcha de mon oreille. J’attendis le coup de sabot. — Écoutez-moi bien mademoiselle Émilie, murmura-t-elle. Afin de me permettre d’apprécier au mieux la sensibilité de vos mamelons, je vais vous demander d’humidifier vos doigts dans votre bouche, puis de masser le bout de vos seins jusqu’à ce qu’ils deviennent aussi durs que tout à l’heure. Je ne pus m’empêcher de sursauter. — Vous voulez que… que… je…— Que vous vous caressiez les seins devant moi ? Tout à fait, c’est bien ce que je vous ai demandé. Cela me permettra de savoir s’ils réagissent normalement à cette stimulation. Quelque chose vous gêne ? Je ne voyais pas comment me sortir de cette situation. Si j’abandonnais maintenant, tout serait perdu. Je devais aller jusqu’au bout aujourd’hui. Mais j’aurais quand même bien aimé éviter cette séquence ! — C’est à dire que… que…— Que quoi ? Exprimez-vous Mademoiselle. Vous ne vous êtes jamais caressée les seins ?— Non… enfin… si… ...

... mais… mais, balbutiai-je— Vous me semblez très troublée, ce qui, vous connaissant, signifie que vous êtes excitée. Prenez un peu sur vous, il n’y a là rien d’embarrassant. Il s’agit juste d’un examen médical. J’avais du mal à me jeter à l’eau. Mais la garce savait y faire et trouver les mots justes. — Un petit effort maintenant et le match retour demain… Je souris. Elle avait gagné. — Maintenant, vous pouvez baisser les bras et lubrifier vos doigts avec votre salive. Je vous conseille de ne pas lésiner, l’effet de vos caresses ne sera que plus fort et l’épreuve plus courte. Je suçai longuement mes doigts, dans un effort aussi désespéré qu’inutile pour gagner du temps. — Il faut y aller à présent, m’interrompit-elle. Je vous rappelle, au cas où vous l’auriez oublié, que vous êtes… totalement nue… dans cette pièce. Je ne voudrais pas que vous preniez froid ! Un peu de courage voyons, ce n’est pas la mer à boire, je vous demande juste… Elle se rapprocha de mon oreille, je me raidis en attendant la suite — … de vous masturber les seins en public… Je ne savais pas encore ce que je lui ferai subir, mais elle allait me payer ça très cher. Je posai mes doigts trempés sur mes tétons et commençai tout doucement à les bouger en fermant les yeux. Une violente claque sur les fesses me ramena brutalement à la réalité du jeu. Je ne pus m’empêcher de crier. — Je vous ai demandé de regarder dans la glace. Vous n’avez pas compris ?— Si, Mademoiselle l’infirmière, excusez-moi.— Bien, reprenez. Et ...