1. Une grande professionnelle


    Datte: 18/05/2019, Catégories: fh, ff, jeunes, médical, vacances, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation sm, confession, initff,

    ... doucement possible, j’ouvris mon ventre à son regard. — Hum… vous êtes gorgée de cyprine, vos muqueuses sont suintantes et parfaitement lubrifiées, votre vagin est grand ouvert. Il s’agit là d’un état orgasmique. Si vous n’en pouvez plus, n’hésitez pas à vous laisser aller, mademoiselle Émilie. Je n’y attacherai aucune importance, je suis une professionnelle. Ce doit être insupportable de se retenir de la sorte, non ? Je répondis par un vague soupir, trop concentrée sur les vagues qui tapaient dans mes reins et refluaient chaque fois un peu plus fort, un peu plus loin. — Avant de palper votre clitoris, je vais quand même stimuler une dernière fois ces adorables petits tétons pour voir si cet état d’excitation déclenche de nouvelles sécrétions. Cela ne m’étonnerait pas, ils sont encore plus gros que tout à l’heure. Cette fille avait vraiment un problème avec ma poitrine ! Mais il n’y avait pas d’issue. Je ne tenais plus que par un fil. Si elle touchait mon clito ou mes seins, c’était l’explosion assurée. La garce posa ses deux mains sur mes épaules et les descendit lentement vers l’avant. C’était la fin ! Au moins, je pourrais me dire que j’avais lutté jusqu’au bout. J’ouvris la bouche pour prendre une grande bouffée d’air avant de plonger… — Mademoiselle Alizée ? — Mademoiselle Alizée, c’est moi, Madame Delaguigne, votre voisine. Vous êtes là ? Je sais que vous êtes là ! Alizée me lâcha, excédée. — Putain de m… ! C’est la vieille d’à côté. Elle ne peut pas me lâcher un peu ...
    ... celle-là ! C’est vrai quoi, je ne suis pas son médecin ! Elle a toujours un pet de travers et à chaque fois, c’est moi qu’elle vient voir… Il faut que je lui ouvre, on ne va pas réussir à s’en défaire autrement. Va te cacher dans la chambre, toi ! Elle n’eut pas à me le dire deux fois ! Je ramassai mes vêtements et filai m’enfermer. Dans l’état où j’étais, j’eus à peine besoin de bouger le petit doigt pour me soulager ! Dieu que ce fut bon ! Je n’avais encore jamais connu ça. Désolé pour toi, mon Julien, mais à côté d’Alizée, tu joues dans la catégorie « débutant complet ». Il me fallut de longues minutes avant de revenir à moi. Ah, elle ne perdait rien pour attendre, la petite infirmière si consciencieuse ! Elle allait comprendre sa douleur demain. Et elle allait parler. Elle répondrait à toutes mes questions ! Je n’avais toujours pas réussi à savoir si elle était vraiment homo mais une chose était déjà certaine : elle savait y faire avec les femmes. Le temps passa. Mme Delaguigne s’incrusta, papota, refit le monde… Quand Alizée s’en débarrassa enfin, j’avais eu largement le temps de farfouiner partout dans sa chambre et elle était déjà presque en retard pour aller travailler. — Les flatulences de mamie vont bien ? lui demandai-je en riant. Elle hocha la tête, désespérée. — Je n’ai jamais vu ça… tu devrais jouer au loto, tu as une chance de cocu !— Peut-être, répondis-je, mais tu prends ton service dans moins de dix minutes. Pas le temps d’attaquer les prolongations. Fin de la ...