1. Les fourberies de Maya


    Datte: 19/05/2019, Catégories: fh, extracon, alliance, lunettes, vacances, campagne, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral

    ... Fabian ? Qu’est-ce qu’il fait, le Fabian ? Il accourt, il est là sans calcul dans le lit de la dame, sans artifice !… Il a une envie folle de la faire danser. Il est prêt à satisfaire la plus profonde de ses affections. Lui aussi il constate qu’il habite ce matin dans une solitude bien longue et bien dure. Et Maya sait-elle que l’âme de Fabian est grosse ? Et est-il prêt à la lui montrer, à la lui dévoiler ? A lui mettre son âme franchement ? » Pendant qu’elle rigole de mes sous-entendus littéraires aux accents salaces, tout en vantant l’écriture brillante de George Sand, je l’attire insensiblement vers moi, je lui caresse amoureusement les cheveux, la nuque et le dos par-dessus son linge de nuit… Elle bloque ma main qui est partie quasi en vrille mais dans le même temps, passe négligemment le revers de la sienne sur ma joue. « Arrête mon grand ! Je… je suis contente d’être avec toi Fabian, j’en conviens. Mais je dois te confier que, malgré moi, je suis devenue jalouse. » « Jalouse ? » « Oui, je suis jalouse. » « De qui ? » « D’elle. » « De Nattie ? » « Oui, de Nattie… » « Mais pourquoi donc ? » « Au plumard, tu dois lui faire bien des choses que Walter ne me fait pas… » Elle ferme les yeux et se tait un instant. Je respecte son silence. Je lui dois la vérité, celle qu’elle connaît d’ailleurs depuis longtemps, pour ne pas rajouter à notre confusion. « Tu sais Maya, il faut que je te rappelle… Nattie pour moi, c’est sûr, elle est d’ailleurs… » « Merci Fabian. Oui, elle a ...
    ... bien de la chance… Je suis contente pour toi. Et pour elle aussi, je l’adore. C’est tout. Ça va passer. Il va falloir que tu te rases, mon coco d’homme, déjà hier tu ne t’es pas rasé ! » « No problem Maya. Et en plus, si c’est pour te faire plaisir… Moi aussi je suis content d’être avec toi ! T’y crois pas dis ? Walter et Nattie sont partis pour bosser et nous on se retrouve dans le même plumard, l’un contre l’autre et pour ainsi dire à poil ! C’est génial non ? » « C’est vrai, tu as raison, c’est un peu dingue. Moi ça me fait bizarre quand même ! » Ses paupières se sont closes. J’embrasse ses blonds cheveux bouclés, sa joue, la pointe de son nez, ses tempes et plus doucement encore, le creux de son oreille. Des petits bécots distillés à lèvres mi-ouvertes, humides et souples. Je sens contre moi tout son corps qui me dit des choses tendres, tentantes, appétissantes. Il laisse supposer de jolis contours replets, bien rondelets, infiniment féminins. Ses cheveux dorés sont hirsutes sur son oreiller et sa tête est enfouie dans le polochon de plume. Je la sens frémissante, interrogative et si nue sous sa chemise de nuit. Sa poitrine est transportée par de profondes inspirations et ses cuisses sont résolument fermées. Les yeux baissés, les genoux serrés, elle fait de la dentelle, elle fait de l’aquarelle, de la tapisserie et de la pâtisserie… (d’après Marcel Amont). Son coeur bat à la folie. J’ai soudain l’impression que ses formes n’espèrent plus que les miennes. Elle doit déjà ...
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