Les fourberies de Maya
Datte: 19/05/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
alliance,
lunettes,
vacances,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
... vraisemblablement vaincue, attendrie, troublée. Je la presse amoureusement pour lui confirmer mes attentes et déculpabiliser ses doutes. « Maya, il y a tellement longtemps que j’ai envie de toi ! Besoin de rien, envie de toi ! Tu le sais ? Hein, tu le sais ? » Elle m’embrasse fort. Très fort. Sa bouche mi ouverte, ses lèvres pulpeuses, sa langue, son palais, l’arête de ses dents, leurs odeurs essoufflées et leur goût… Tout me grise ! « Moi aussi j’ai envie de toi ! Embrasse-moi idiot… Encore ! Tu m’étouffes ! Fabian, heu, c’était ça mon rêve, cette nuit. J’ai fait l’amour avec toi… » Fine guêpe, gente dame, belle noblesse de cour. Je commence à relever doucement sa chemise de nuit en l’enroulant et en tirant à peine sur le tissu. Je la dévêts. Astucieusement elle lutte, habilement elle hésite, femme elle jauge… Puis elle soulève imperceptiblement les fesses pour laisser malgré tout passer les pans de sa chemise. Libertine comtesse. Je la dévêts davantage. Elle courbe le dos, elle sort ses deux bras des emmanchures, retient encore, perfide, quelques étoffes sous son cou pour finir par laisser passer son minois et ses belles bouclettes blondes. Je la dévêts sans punition. Malicieuse marquise. Ainsi dévoilée, entièrement nue, elle se réfugie contre moi uniquement par pudeur, pour dissimuler sa vertu et ses dons. Facétieuse duchesse. Elle rougit, si heureuse, si fourbe, en observant mon caleçon tendu, irrépressiblement déformé par ses soins. « Oh ? Mais Fabian, je suis toute ...
... nue à présent ! Ce n’est pas bien ! Il ne faut pas. On ne fera rien, hein ? Oh non, il ne faut surtout pas. Et pendant que je te demande ça, toi tu bandes comme un âne ! Oh, rien que d’y penser, tu me donnes la chair de poule, je frissonne de partout… Je crois bien que je fais une belle connerie ! Fabian, on ne dira rien à personne hein ? Toi surtout tu restes habillé comme tu es. Je veux bien que tu me caresses, mais c’est tout ! On ne va pas plus loin ! C’est juste pour te faire plaisir tu sais ? T’as compris ? Fabian tu as uniquement le droit me caresser. Ça j’affectionne. Et de m’embrasser si tu veux. Mais on ne met plus la langue. C’est tout ! » Elle est dans mes bras. Angélique princesse. Elle m’appartient, tout m’appartient. Son dos si doux, ses reins, ses hanches si honorablement dessinées, ses fesses replètes, ses cuisses refermées comme un étau… Reine divine à qui j’ôte les lunettes comme pour lui faire révérence. Elle dissimule sa fièvre et son excitation à l’aide de petites phrases soufflées, soupirées, expirées… Elle m’enlace très fort mais je sens qu’elle a peur. « Des caresses, c’est tout ! Fabian ? » Moi aussi j’ai peur. Ma main parcourt pourtant son corps nu à la recherche de son trésor. Son ventre plat et relâché, son nombril, son ventre à nouveau et plus bas à l’abord de ses cuisses, son divin duvet. Doigts tendus je conquiers son minou. Je me soulève pour me rapprocher d’elle et, de l’autre, je lui prodigue quelques douceurs encore plus voluptueuses tout le ...