Les fourberies de Maya
Datte: 19/05/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
alliance,
lunettes,
vacances,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
... Mais oui ? Oui ta respiration me fait du chaud et du froid. Super ! Une seconde, Fabian s’il te plaît, je me tourne et je m’accroupis fesses en l’air. Je n’en peux plus, je craque… Il faut que j’en profite un max… » Dans la seconde qui suit, Maya m’offre une vue imprenable sur l’arrière de son jardin chinois, sa glycine grimpante, sa rouge anémone, son œillet crénelé et son prunus triloba à l’amande si douce… Pour le petit déjeuner, je prépare mon bouquet. Un nectar ! « Mais, oh ? C’est ton appendice nasal ? Retire vite ton nez de là s’il te plaît ! Oui ta langue je veux bien ! Mais tu m’aiguillonnes ! Il va bien falloir que la veille de la chandeleur, l’hiver me passe pour prendre rigueur… Fabian passe sur moi, viens sur moi. Oui, viens ! » De nouveau sur le dos, elle m’accueille avec une infinie tendresse, m’enlace par le cou, enroule ses jambes comme des lianes autour de mes reins. Elle se réfugie. D’office elle me retire mon tee-shirt et en me labourant le dos m’embrasse à la folie. Avec la langue. Quand elle ressent l’enflure magistrale de mon caleçon ouvert venir étreindre son ventre, elle rejette ses cuisses sur chaque bord du lit pour que je puisse me blottir douillettement dans ses vastes espaces. Elle prend mes joues dans ses mains, me regarde fixement au fond des yeux. « Gougnafier, malappris, insolent… Non, non ! Amant, mon bel amant de la mansarde ! » Je lui rends infiniment son regard. Elle attire ma bouche sur la sienne. Dans la sienne. Insensée ! Dans son ...
... lit devenu brûlant et qui craque lui aussi de tous ses bois, je goûte ses fougues à s’épanouir complètement, je raffole de ses genoux montés comme un signal, de son bassin qui s’exalte et de ses pieds qui viennent se croiser fermement sur mes reins pour s’y suspendre. Elle met ses mains sur mes hanches pour provoquer l’élan de mon bassin vers le sien. Echauffement cadencé autour de son nombril ! Maya s’offre. Maya désire mes envolées. Alors je m’envole. « Fabian, non pas ça, non, j’ai dit non ! Pas ça… ! Ô bonne mère ! Oh ! Oui, oui ! Mon Dieu ! » Elle termine sa phrase par un spasme raffiné et subtil, une crispation soumise. Je sens la pointe de ses ongles nerveux scarifier mon dos. D’un geste vif elle attire les draps et les couvertures par-dessus nos têtes pour faire un semblant de nuit sur nous et tout cacher. En me redressant sur mes coudes et en plongeant mes yeux sous nos draps j’entrevois dans la pénombre son corps mystérieusement poétisé. J’entrevois aussi ses seins en pomme, petites poirettes d’amour d’où pointent ses grains mûrs, brunâtres, son ventre blanc, presque plat, creusé pour m’accueillir, sa touffe soyeuse et tamisée au maillot finement taillé. J’imagine le seuil brillamment ouvert de son vestibule. Elle place elle-même ses mains dessous ses fesses pour soutenir et aiguillonner la promesse de ses accueils… Le chaud de l’édredon rouge et les mous du matelas nous renvoient nos senteurs de peaux, nos souffles, nos haleines et toutes les fragrances de nos ébats ...