Les fourberies de Maya
Datte: 19/05/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
alliance,
lunettes,
vacances,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
... monte aux joues et elle m’envoie une méchante pichenette sur le bout des doigts. Ouille ! « Oh mais Walter, ça te plaît tant que ça ? » Son regard s’enflamme dans le mien. Elle jubile. Elle va le faire parler. Ma paume enrobe l’arrondi luisant de son épaule et la flatte. En faisant non de la tête pour désapprouver mon toupet, elle s’accoude et se penche pour se dégager. Le décolleté de sa chemise de nuit s’ouvre et mon regard s’introduit instantanément à l’intérieur. Ne cachez pas ses seins de rêve que je pourrais palper… « Oui, moi aussi tu sais, ça me plaît ! » En plongeant sa main dans son décolleté pour se gratter, elle évite mon regard pour ne pas avoir à protester. « Mais je ne savais pas Walter… » Elle retire sa main. Ses seins s’enflent et s’abaissent. Maya fait semblant de ne pas remarquer où se distraient mes yeux. « Petit chou va ! » Mieux, elle ne retient devant moi, aucune gesticulation lascive de satisfaction. « Tu es comme papa alors ? » Sous le tissu, ses seins nus ombrés par le soleil, ballottent, tressautent, provoquent…. Ils me restaurent, ils me sustentent. Elle donne du temps au temps ! Maya ? Elle boit pas, elle fume pas, mais elle drague et elle cause ! Super nana ! « Oui, pour ce soir on verra mon chéri, mais avec Nattie et Fabian à côté, ça le fait ! Hein ? Tu es sûr que c’est tout ce que tu as à me dire mon chéri ? Allo ? Je ne comprends pas ! Allo ? » Oui, c’est tout dit-il. Mais comme elle n’a pas bien entendu sa réponse, perverse, elle joue à ...
... fond les arrêts de jeu des prolongations en suspendant mon viol au-dessus d’un nid de gougouttes… « Walter, tu es toujours là ? » Finalement, maligne et rouée, Maya place sa main sur son décolleté pour m’en interdire l’accès. Pub. Jingle. Je ne vois plus rien, je proteste. Elle me refait signe « non » de la tête et encore chut mais en posant cette fois son doigt sur mes lèvres. Sans réfléchir, je l’embrasse, je le mordille. Surprise, elle l’ôte d’un coup quand elle sent que j’ai entrepris de le sucer. Hypocrite comédienne, ténébreuse manipulatrice, elle me lance un regard qui se veut furibond. « Allo oui ? Ah bon ? C’est tout Walter ? Et quand tu t’es levé ce matin ?… » Quand il s’est levé ? Il lui avoue en continu avoir soulevé les draps et les couvertures avant de quitter le lit pour la regarder dormir que sa chemise de nuit était toute boudinée sous ses petites doudounes en laissant voir son adorable petit cul que sa peau des fesses autour de sa rosette était éclatante mais qu’on pouvait mieux faire surtout pour la rosette si on s’en occupait plus régulièrement avec amour et qu’il en a eu une belle érection dans son boxer mais comme il faisait froid dans la chambre il s’est dépêché de filer… À propos d’érection, Maya, stupéfaite, me voit soulever mes draps pour espionner la mienne. À ma mine réjouie elle en tire les conclusions et apostrophe copieusement les deux… « Gros cochon que tu es ! Obscène, malotru ! » Avec sa main, elle obstrue le téléphone pour me dire furieuse que ...