1. À l'ombre de ses ailes (5)


    Datte: 19/05/2019, Catégories: Erotique,

    ... sa course vers le sexe féminin totalement libre. Les doigts furetèrent un instant dans la toison pubienne. Elle était assurément une vraie brune. Puis un majeur reprit possession de cette fente encore humide des frasques du petit matin, avant le lever. Claude se pressa contre le torse poilu de son compagnon de cuissage. Elle dut monter sur la pointe des pieds pour l’embrasser. Le baiser scellait le serment qu’elle venait de lui faire. Il la souleva d’un coup, gardant sa louche avec un doigt planté en elle. Portée par cette force de la nature, elle atterrit les fesses sur le plan de travail en granit contigu à l’évier. Claude le corps en arrière, les jambes largement ouvertes, avait conscience de son obscénité. Mais la bouille de ce monstre qui venait de pointer son nez entre ses cuisses l’empêcha d’y songer trop. Il finit son petit déjeuner par un dessert hors du commun. La langue qui léchait les babines du sexe de Claude remplissait la cuisine de bruits incongrus. Mais elle appréciait ce qu’il lui faisait. Sa seule réponse fut de lui maintenir la caboche contre sa fourche en gémissant fortement. Il ne cherchait que son plaisir à elle. Sans vraiment penser à s’occuper de lui. Il savait qu’il aurait de quoi être ravi au moment où il le déciderait. Elle ne pouvait plus rien lui refuser et quand il approcha son énorme boudin de la chatte engluée de salive et de ses sécrétions féminines, la brune n’eut qu’un « ouf » de soulagement. Une fois en elle, en la maintenant pour qu’elle ...
    ... ne bouge plus, il lui labourait le sexe à un rythme soutenu. Les gémissements de la belle cédaient la place à des cris plus rauques. Signe qu’elle prenait du plaisir à être ainsi jardinée… — oooOooo — Le mois suivant cette relation plaisante, les deux échangèrent souvent. Par téléphone et par le biais également de leurs ordinateurs. L’ère de l’électronique servait de tremplin à tant d’amour depuis son avènement. Claude finalement s’était attaché à ses appels quasi quotidiens du nounours imposant et lui, lui susurrait toujours davantage de mots doux. Si son cœur ne s’emballait pas, Claude se devait de reconnaitre qu’elle n’était pas indifférente à la voix feutrée de Malo. Il souhaitait la revoir, mais elle ne précipitait pas leurs retrouvailles. Pas parce qu’elle les refusait absolument, seulement elle voulait laisser murir ses sentiments pour cet homme. Alors ce matin-là, il insistait encore sans pour autant être lourd. Claude songea que le week-end qui allait commencer pouvait s’avérer riche en évènements et elle proposa à l’homme de venir la rejoindre. Il n’eut aucune hésitation bien sûr. Ensuite, elle passa le plus clair de sa matinée dans son jardin. Ses roses demandaient des soins continus en cette saison. Alors qu’elle déjeunait seule dans sa cuisine, la sonnerie du portail se mit à grelotter. Elle pensa que Malo était bien pressé et qu’il avait dû avancer l’heure de son arrivée. En ouvrant le visiophone, elle s’aperçut en fait que son visiteur n’était pas celui qu’elle ...
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