1. À l'ombre de ses ailes (5)


    Datte: 19/05/2019, Catégories: Erotique,

    ... mémorable. La bouche ne suçait que la partie que les deux pattes féminines ne pouvaient pas contenir. Le regard fixé sur cette fellation hors norme, Claude ne ressentait absolument aucune once de dépit. Juste un petit remue-ménage au fond de son ventre, une envie encore contenue, un appel au sexe. Malo résistait de moins en moins aux gémissements que la dévoreuse de queue lâchait. Il s’agissait simplement de maintenir le cap pour elle et le gouvernail lui se taillait la part belle. La frimousse de la brune apparut dans l’encadrement de la porte donnant sur la terrasse. Les battoirs de l’homme venaient de se placer sur les épaules de la rousse. Il fit mine de la repousser, mais elle s’agrippait telle une forcenée aux cuisses du gars debout. Les yeux révulsés, lui ne savait plus que faire. Et c’est encore Claude qui vint sauver la situation. Derrière le couple bizarre, formé d’une femme en prière et d’un homme enchâssé en elle, elle murmura dans la nuit. — Vous êtes beaux tous les deux. J’adore ce spectacle que vous m’offrez. Je, vous en prie, ne vous préoccupez pas de ma présence. Continuez, s’il vous plait ! Faites comme si je n’étais pas là. Oh Cathy… j’aime te voir dans cette position et je souhaite que tu prennes le plus de plaisir possible. — Humm ! — Ne cherche pas à parler ! Faites-vous plaisir. Malo… tu es trop fort, trop bien monté pour moi… je n’osais pas te le dire, mais je ne pourrais jamais supporter cette monstrueuse bite tous les jours, tous les soirs. À la ...
    ... longue, elle finirait par me déchirer, me faire plus de mal que de bien. Je suis sûre que Cathy par contre pourra t’accueillir sans souci. Alors, vas-y ! Prends là sans te soucier de moi. Montrez-moi comment vous jouissez bien tous les deux. Baise là, pour elle, mais un peu pour moi aussi. Absorbé par les bienfaits que la bouche lui insufflait, Malo avait perçu les mots de Claude. Et cette fois, ce fut sans aucune pudeur qu’il obtempéra aux injonctions douces de la brune. Elle venait de lui donner un blanc-seing, un sauf-conduit pour finir ce que Catherine avait si bien entamé. Il se baissa légèrement, rattrapa la poupée qui s’activait sur son jonc. En la soulevant par la taille, il la porta sur les quelques mètres qui les séparaient de l’escarpolette plantée sur la terrasse. Il colla son précieux fardeau, figure contre le dossier. Puis sans se départir d’un calme sans faille, il avança simplement le buste. La croupe rebondie de la rousse sembla avaler une partie de la trique tendue. Mais elle était trop longue pour disparaitre en entier dans cette chatte si bien présentée. Un râle énorme déchira la nuit. L’intromission malgré l’envie de la belle ne se pratiquait pas sans douleur apparemment. L’homme resta un moment immobile avant de mettre en mouvement son bassin. Ses hanches commençaient un ballet qui tirait des soupirs rauques à la rousse. La tenant par les hanches, il allait et venait désormais avec une facilité déconcertante. Et Catherine bramait dans la nuit vosgienne. Le ...