le conflit des générations (2) - Histoires de Sexe

le conflit des générations (2)

... Lolo pour bien voir. Elle jouit en hurlant. On se leva pour aller à la salle de bain à notre retour, ma tante et le voisin étaient en train de regarder toutes les photos que ma tante avait prises depuis le début de notre séjour. « C’est cool, les filles, Albert se propose pour venir avec son camescope demain pour vous filmer. Il me montrera comment il fonctionne et nous pourrons nous faire des films sur vos vacances. Maintenant dis-moi Evelyne, il m’a aussi raconté qu’il t’avait un peu tripoté les nichons et que tu avais aimé ça » Je fus étonné un peu des mots employés par ma tante mais en me rappelant ce qu’avait dit Lolo, je le fus un peu moins. « Oui ma tante c’est vrai » « Bon comme tu n’as pas joui toi, c’est à ton tour » Le voisin s’approcha de ma chaise par derrière et attrapa mes seins qu’il malaxa très fort puis il pinça violemment mes tétons. Il devait penser à la photo où mon oncle me pinçait et me le tordait très fort. Puis il prit mes jambes qu’il bascula sur les accoudoirs de la chaise et me tritura la chatte d’une main tout en s’occupant d’un de mes nichons de l’autre. Il se mit à genoux devant moi et me la bouffa pendant que Lolo prenait sa place derrière moi pour me tripoter les seins aussi violemment que lui. Je gémissais de plaisir. Ma tante prit des photos. Je jouis en criant « Vas-y claques moi les nichons très fort ! Oui fais-moi mal ! Arraches-les ! » Ma cousine me les gifla très fort puis il attrapa à pleins mains et tira dessus. Je continuais à crier ...

... de plaisir. Puis je me calmais pendant qu’elle me les massait doucement. Le voisin sortit sa queue et me la mit dans la bouche, prit ma tête pour appuyer dessus et me baisa la bouche puis il jouit en éjaculant sur mon corps. Je continuais à gémir de plaisir. « Et bien, elle n’en a pas l’air mais c’est une sacrée salope ma petite nièce. Me voilà avec deux salopes à la maison, je sens que l’on va bien s’amuser jusqu’à la fin de vos vacances, les filles. » Ma tante jubilait. Mon voisin profitait du spectacle, ma cousine caressant toujours mes seins et moi les cuisses grandes ouvertes sur la chaise. « A demain Albert » Le lendemain après le repas, ma cousine et moi, nous faisions la vaisselle pendant que ma tante vaquai à diverses tâches, elle sortait, rentrait à plusieurs reprises. Elle nous appela dehors pour nous attacher avec des colliers de chien après des piquets et nous baillonna. On entendit la voiture d’Albert arrivait. « A genoux, face à face ! Toi prends tes grosses mamelles dans les mains et frotte les contre les tétons de Lolo » « Je vois que vous avez commencé sans moi » « Non, tu peux commencer à filmer, on va aller à la grange, j’ai tout préparé comme on l’avait dit hier au téléphone » Ma tante nous détacha et sortit un martinet pour nous fouetter les fesses pendant que nous nous dirigions vers la grange à quatre pattes. En arrivant à la grange, on dut se mettre à genoux. ocdoggna « Depuis que je l’ai vu à poil celle-là, je savais que j’allais pouvoir faire ce que ...