le conflit des générations (2) - Histoires de Sexe

le conflit des générations (2)

... je ne pouvais pas faire à Lolo qui a des seins plus petits et plus fermes. Mais elle c’est comme une vache à grosses mamelles avec lesquelles je vais pouvoir jouer » On entra dans la grange et on se dirigea vers un coin où deux cordes pendaient à des poulies. Elle mit Lolo debout, lui attacha les mains puis elle l’accrocha à une des cordes et souleva jusqu’à ce qu’elle soit sur la pointe des pieds. Elle se tourna vers moi avec un sourire narquois. Elle m’attache les mains dans le dos puis elle prit deux tubes qui se révélèrent être deux petites pompes sous vide qu’elle mit sur mes tétons. Je les sentis être aspirés ça tirait. Puis elle prit des cordelettes qu’elle enroula autour de mes seins au milieu et elle y accrocha la corde qui pendait puis tira. Je gémis et me mis sur la pointe des pieds mais j’étais limite pendue par les seins. « Hier, tu criais de plaisir en demandant à ta cousine de te les arracher, voilà qui est fait » Je secouais la tête pour dire non. Ma tante s’en moquait, elle me titilla le clito pour me faire jouir. « Tu ne veux pas mais tu mouilles salope ! Tu aimes ça ! » Le voisin filmait en gros plan mes seins étiraient vers le plafond, une bosse déformait son pantalon.Je voulus bouger pour suivre le doigt mais mes seins me rappelèrent à l’ordre et je me redressai sur le champ. « Tant pis, tu n’as pas envie de jouir » Elle se tourna vers ma cousine et sortit un autre martinet dont les lanières étaient noires. Je vis ma cousine secouait la tête. Ma tante ...

... lui fouetta les fesses puis le dos. Le voisin se régalait. Puis ma tante me donna un violent coup de martinet sur le cul. Je m’avançais oubliant mes seins attachaient, la douleur me rappela à l’ordre et je ne bougeais plus. Ma tante mis les mêmes pompes à sein à ma cousine, repris l’autre martinet celui qui était coloré et lui fouetta la poitrine. Elle revint vers moi et décrocha la corde et tira sur les pompes pour les enlever. Elle me conduisit vers une table et m’allongea dessus puis m’attacha les bras en croix, les seins toujours entourés avec les cordelettes, puis enroula des cordes autour de mes cuisses et genoux pour que je ne puisse pas allonger les jambes. Elle m’enduisit le sexe de vaseline en une couche épaisse. Le voisin posa le camescope sur un trépied puis se baissa. Quand il se releva, il tenait comme une perceuse avec un gode en jelly au bout. Il la mit en route et je vis le gode aller venir doucement c’était en fait une perceuse à percussion ou marteau qui avait été bricolée pour en faire une machine à baiser. « Tu vas aimer ça, ta cousine aime que je la baise avec ça. C’est un ami qui me l’a fabriquée » Ma tante était fière d’elle. Albert présenta l’instrument à l’entrée de ma chatte et le mis en route doucement. Je sentais le gode me pénétrer, c’était bon. Ma tante posa une boule vibrante, qu’elle brancha, sur mon clito. C’était fort comme sensation, je gémis rapidement et Albert augmenta la vitesse de la machine. Je jouis mais ni l’un ni l’autre n’arrêta. Je ...