1. Luxe, tempête et volupté


    Datte: 20/05/2019, Catégories: fh, extracon, hotel, voyage, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Oral pénétratio, fsodo, fouetfesse, journal,

    ... y aller ; peut-être à ce soir…— D’accord ! Elle est partie. Je reste seul. Je m’aperçois que cette nouvelle stratégie consistant à laisser s’exprimer Priape, pour tentante qu’elle soit, n’est pas gage de réussite. Je n’arrive pas à éteindre saint Alphonse et ses« Je te l’avais bien dit ». Dommage, elle est pourtant belle, Caroline, avec ses seins que je devine en poire, ses yeux noisette et sa silhouette à damner un saint (mais quand même pas saint Alphonse, n’est-ce pas !). Je me morfonds et vais travailler. 14 h, un SMS laconique : Joie ! Au moins, elle ne m’en veut pas. À 19 h, je suis à mon poste, étrangement assez léger, comme si ce bisou raté n’avait pas hypothéqué notre amitié. Quand elle arrive, je remarque qu’elle s’est maquillée. Aller maquillée à un rendez-vous avec un homme qui a essayé de vous embrasser le matin même ? Je sens le cours de mon action remonter (et pas que lui). Elle est belle et d’humeur badine. Nous décidons d’aller dans un bar après le restaurant. Les cocktails aidant, nos jambes se touchent sous la si petite table, nous ne faisons rien pour les éloigner et les confessions se font plus intimes : elle me dit qu’elle aussi a des difficultés dans son couple ; que son conjoint travaille beaucoup trop (décidément…), qu’il la néglige. Nous rentrons côte à côte par les rues désertes, mais je me garde bien de la prendre par la main ou l’embrasser, la brûlure du matin est malgré tout encore vive. — Rentre bien.— Toi aussi. Tu m’appelles quand tu repasses ...
    ... dans le coin ?— Oui ! Prends soin de toi. — Le même café, tu es sûr ? Nouveau déplacement dans sa ville une semaine plus tard. C’est moi qui lui ai proposé de revenir au même endroit que la semaine précédente : les cocktails y sont toujours bons (et traîtres). En plus, je ne dois pas rentrer à la première heure demain matin, et peux donc me coucher tard. Caroline a de nouveau trouvé le moyen de faire garder sa fille, et ne travaille pas le lendemain matin non plus. J’en suis très heureux, conscient que cette plage de liberté qu’elle m’accorde est un privilège rare. Cette fois cependant, pas d’hôtel, je couche chez Caroline. Sans vergogne pour mon geste de la semaine passée et les confessions qu’elle m’a faites, je m’apprête à la raccompagner gentiment après notre soirée dans l’appartement de l’homme que j’ai cherché à rendre cocu. Pas particulièrement fier certes, mais pas effondré non plus. J’essaie d’éviter de me demander ce qu’en penseraient mon moi de 17 ans, ma femme de 40, mes parents ou mes enfants… Les cocktails s’enchaînent et, si la fête est plus folle sans alcool, elle n’est pas mal non plus avec. Nos gestes et nos paroles se font moins assurés, et, collés l’un contre l’autre à cette table toujours aussi petite, nous perdons progressivement nos inhibitions. Les fous rires arrivent aussi lorsque Caroline cherche à payer avec sa carte… vitale, et nous regagnons d’un pas incertain notre table où nous nous affalons vite avec notre nième cocktail. Son front est si près ...
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