1. Luxe, tempête et volupté


    Datte: 20/05/2019, Catégories: fh, extracon, hotel, voyage, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Oral pénétratio, fsodo, fouetfesse, journal,

    ... plaisir et ses encouragements qui m’excitent au plus haut point : — J’aime ta bite. Plus fort, baise-moi plus fort ! Nous sommes maintenant couverts de sueur, ce qui rend encore plus érotiques les rencontres de nos corps. Rencontres de moins en moins contrôlées, mais de plus en plus torrides. Je la monte maintenant, l’ayant fait basculer sur le ventre. Je la chevauche, mes jambes de chaque côté des siennes, m’agrippant à ses hanches si bien dessinées. Finalement, dans un dernier coup de reins, je jouis en elle. L’abandon qui suit d’habitude la jouissance est ici pour moi de courte durée : mon train va partir et j’ai juste le temps de le prendre. C’est donc précipitamment que je quitte ma maîtresse (on est gentleman ou on ne l’est pas, sic…), non sans lui avoir promis de nous revoir bientôt… Trois semaines pendant lesquelles je n’ai pas pu venir la rencontrer ; trois semaines d’échanges cachés, enflammés parfois, pas assez prudents. Je suis étonné du feu qui a jailli entre nous. De cette amitié pas si ignifugée que ça qui brille et étincelle aujourd’hui en se transformant en cette histoire d’amour. C’est donc tout impatient que je descends du train trois semaines plus tard. Mon rendez-vous professionnel passé, je vais la voir, toujours à son appartement. Les retrouvailles sont belles. Nous nous embrassons passionnément en déshabillant l’autre rapidement pour faire apparaître la peau que nous désirons tant, nous nous retrouvons sur son lit. Les mêmes gestes que ceux d’il y a ...
    ... une vingtaine de jours, des sensations fortes nous lient l’un à l’autre. — Domine-moi, prends-moi. Elle me dit ça dans un souffle, alors que son corps est déjà prêt à me recevoir. Délicatement (trop ?), je la fais se mettre à genoux, elle se cambre. Je m’approche d’elle par-derrière et mon sexe vient toucher le sien. Doucement, je la prends comme ça, les mains sur ses hanches, en levrette, jusqu’à sentir tout mon sexe en elle. Je ne bouge plus, profite de la douceur de sa peau, de ses formes qui me plaisent tant : ses seins, ses fesses. Quelle ivresse ! C’est Byzance, cette fille ! Et puis mes gestes, très lents au début, qui la frustrent, l’exaspèrent : elle me veut plus fort, plus loin en elle. Et cette accélération, cette amplification des mouvements de mon bassin qui est trop lente, mais qui, bientôt, va nous ravir tous deux. Mes mains qui quittent ses hanches, et prennent ses seins blancs, puis ses trapèzes, puis redescendent le long de sa colonne. Oui, je la domine maintenant, je la prends fort, et elle geint de m’avoir en elle, de recevoir « ma bite », comme elle dit si bien, au plus profond d’elle. Elle tourne sa tête, je la vois de profil, belle à mourir, à quatre pattes, comme ça, à subir ma loi. Je ressors alors, mouillé d’elle. Heu-reux. Le hasard fait bien les choses, et deux semaines plus tard, le travail m’appelle à nouveau dans sa ville. Cette fois cependant, nous ne nous retrouverons pas chez elle : cet endroit a évidemment une signification lourde à porter. ...
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