1. Le Resort (14)


    Datte: 20/05/2019, Catégories: Trash,

    ... derrière nous. Sa tête n’a pas quitté mon épaule. Nous nous assoyons sur le bord du lit, côte à côte. Mon plan est simple : la laisser exprimer librement sa douleur, le temps qu’il faudra. Après quoi, lui accorder un petit plaisir, un réconfort que moi seul pourrai lui apporter. « Laisse-toi aller, ma Sophie, pleure tout ton saoul, ça te fera du bien. » Ses pleurs montent en crescendo. Les larmes collent ses cheveux roux sur ses joues. Nos deux corps enlacés vibrent sous ses sanglots. J’ai moi-même la gorge nouée. La pauvre n’a jamais été aussi malheureuse. Toute sa vie de couple défile devant nous : leur enfance, leur jeunesse, leur complicité d’adolescentes, leurs combats d’oreillers, leur promesse de mariage et de fidélité, leurs courses folles sur la plage en tenue d’Ève, les petites joies et les petites peines de leur courte vie d’amoureuses unies, tout y passe. Je dégage ses cheveux mouillés, j’essuie son visage, nous nous regardons : ses yeux noyés m’envoient encore des vagues de douleur et de tristesse. Elle se mouche à quelques reprises. Son chagrin s’est quelque peu asséché. Je n’aurai pas à lui formuler mon offre : elle a déjà porté la main sur mon sexe, au travers de mon pantalon. « Oui, Sophie, vas-y. Console-toi, mais après, promets-moi de bien m’écouter. Je te jure que tu finiras par comprendre. » Elle ne se fera pas prier. S’étant relevée du lit, elle me tire vers elle. Je suis debout, elle s’agenouille. Ouvrir ma braguette ne la contentera pas. Elle détache ...
    ... ma ceinture. Le vêtement tombe à mes pieds. Elle veut sentir ses mains sur ma peau épilée, caresser mes chaudes fesses de nouveau pendant qu’elle va chercher à combler l’immense vide créé dans son cœur d’amoureuse. Ses mains courent sur mon postérieur. Contournant mes hanches, elles ramassent mes bourses pendant que sa langue soulève mon organe presque complètement durci. Ses lèvres enveloppent mon gland de plus en plus congestionné, et font disparaître ma hampe au fond d’une cavité buccale inondée de salive salée de larmes. Sa bouche s’est refermée sur ma virilité et ses yeux sur ses souvenirs. Elle semble se détendre à mesure que ses mouvements se succèdent. Je l’entends gémir en sourdine. Elle étouffe encore quelques petits sanglots. Elle avale goulûment mon sperme alors que je gicle avec puissance dans sa petite bouche de gamine. De sa langue, elle assèche complètement cette partie de moi qui l’a quelque peu réconfortée. « Je vais t’écouter maintenant, Simon. Je sais que tu me diras la vérité. Ton foutre m’a fait du bien, il est si doux ! Il m’a rempli le cœur d’une telle paix, quelque chose qui transcende ma raison. » Elle me fera cependant une requête, avant de m’ouvrir son cœur et de recevoir mes paroles. S’étant déculottée sans aucune gêne, elle s’allonge sur le ventre, m’approche son cul et me tend un objet souple et cylindrique ramassé sur la commode : « Prend ce gode, et caresse-moi comme seule Alicia savait le faire. Qui le fera dorénavant maintenant qu’elle ne ...
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