1. Les carnets d'Anita


    Datte: 20/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    C'était un jour comme les autres. Ce devait être un jour ordinaire. Il faisait un temps glacial. J'étais partie travailler en jeans avec un gros pull très long, à col roulé. La journée se déroulait sans histoires. Après le repas du midi, j'avais repris mon travail sans penser une seconde que j'avais pu oublier quelque-chose... Mais vers 15 heures, mon téléphone sonna : " Allô, Madame Delague ? Docteur Martin, médecine du travail... vous vous souvenez ? nous avons rendez-vous... maintenant. Je vous attends... - Bien... j'arrive ! " Sur le moment, j'étais juste surprise. Mais en descendant l'escalier, je me suis souvenue que sous mon pull, je n'avais qu'un soutien-gorge, et qu'il était transparent. Ce matin-là, en retard comme chaque jour, j'avais pris dans l'armoire les premiers sous-vêtements qui m'étaient tombés sous la main, et quand je m'étais aperçue que c'était celui-là que j'avais descendu de la chambre, je n'avais eu ni le temps ni le courage de remonter en chercher un autre. Mon mari, qui me sait pudique, me l'avait offert, et même devant lui, je me sentais gênée, c'est dire à quel point je paniquais maintenant. Je sentais une bouffée de chaleur me monter au visage. J'allais faire demi-tour avant d'atteindre l'infirmerie, quand le médecin en sortit, un peu agacé : " Allez, entrez " Impossible de faire demi-tour. Je devais être rouge vif. Il me posa différentes questions dont je ne me souviens même pas. J'étais obnubilée par l'idée qu'il puisse vouloir m'ausculter, ...
    ... je préparais mes réponses pour y échapper, au cas où... Au bout de quelques minutes interminables, il prit ma tension. Heureusement, le pull était suffisamment souple pour dégager le bras, c'était parfait. Il retourna s'asseoir, griffonnant sur une fiche en m'assurant que tout allait bien. Je respirais en comprenant que la visite se terminait. Quelques secondes plus tard, on frappa à la porte. Une femme entra, c'était l'infirmière : " Je l'ai retrouvé, docteur ! ", dit-elle en brandissant un stéthoscope. Le docteur la remercia, puis se tourna vers moi : " Si elle ne l'avait pas retrouvé, je n'aurais pas pu vous ausculter. Relevez votre pull, il y en a pour quelques secondes ! " J'étais terrifiée, je ne savais pas comment attraper ce gros pull ajusté. " Enlevez-le, voyons ! " Je le regardais, pétrifiée. Je pus enfin parler : " Je ne peux pas ! - comment ça, vous ne pouvez pas ? - euh!... j'ai un soutien-gorge transparent, je ne veux pas qu'on voie.. - Allons, arrêtez ces enfantillages... je m'en fiche de vos seins, moi " J'étais honteuse, écarlate, mais je me suis quand même décidée à m'exécuter. Il ne me regardait pas. Moi qui mourrais de chaud quelques secondes auparavant, j'étais gelée. Mes tétons durcissaient à m'en faire mal, comme s'ils allaient percer le tulle noir du soutien-gorge. Pour l'instant, il était derrière moi et je me croyais tranquille... La porte s'entrouvrit légèrement. "Je peux entrer ?" C'était de nouveau l'infirmière, elle fut bientôt devant moi. En ...
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