1. Les carnets d'Anita


    Datte: 20/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... que j'avais l'impression que mon sexe coulait sur mes cuisses. Je quittai la boutique mes habits et achats à la main, sous le ragard d'un passant qui s'était attardé, qui avait sans doute vu quelque-chose. Je pressai le pas. En arrivant au bureau, je me précipitai vers ma voiture, au sous-sol. Une fois à l'intérieur, je fus soulagée mais pas satisfaite, alors c'est au beau milieu du parking que je me rhabillai, après quoi je ne pus tenir plus d'un quart d'heure avant de jouir sous mes doigts. Le soir, j'ai bien failli en parler à mon mari, mais c'était encore trop tôt... J'ai mis plusieurs jours à me remettre de mon aventure dans la boutique de lingerie. C'était une véritable humiliation, et je devais bien admettre que c'était tout ce que je recherchais. D'ailleurs, je me refusais (poliment) à mon mari, parce qu'il était en dehors de tout cela. Je savais que je lui en parlerais un jour. Mais pour l'instant, rien ne me plaisait plus que de passer et repasser devant la boutique. Même au bureau, je passais mon temps à chercher des idées à la fois réalisables et efficaces. Je les notais sur un clalepin, puis j'y revenais pour les affiner, les pimenter. Depuis quelques jours, je m'obligeais à aller me deshabiller dans les toilettes, côté femmes bien sûr, et à y rester sans verrouiller la porte. Chaque jour, j'allongeais la durée de la séance, que je terminais à chaque fois en me faisant jouir. J'en étais à un quart d'heure, et juste une fois, une collègue avait ouvert la porte... ...
    ... et l'avait refermée aussitôt, comme un réflexe : elle avait compris qu'il y avait quelqu'un, elle ne l'avait pas vu. Je ne sais pas ce qui m'a pris ce mardi-là, mais j'ai décidé que je devais réaliser mon épreuve quelques étages plus haut dans l'immeuble, là où d'autres sociétés que la mienne sont installées. J'ai tiré le numéro de l'étage au sort : il me fallait rester 20 minutes. En avançant dans le couloir, je sentais mon coeur battre plus fort... Juste à côté des toilettes, il y avait un bureau d'où provenait les sons d'une conversation entre collègue. Je suis entrée sans bruit et j'ai allumé, puis j'ai refermé la porte, et le verrou. J'avais peur. J'ai regardé ma montre pour compter 20 minutes, puis j'ai tourné le verrou en respirant à fond. Tout de suite, j'ai retiré mon pull puisque je me devais d'avoir toujours quelque chose à montrer. Dans la glace, devant le lavabo, je voyais l'article que j'avais acheté dans la boutique l'autre midi et j'en rougissais. J'ai rajusté les bonnets pour que le tulle descende bien assez bas : quand tout était bien visible, j'ai roulé violemment mes tétons entre mes doigts. 4 minutes, seulement, je transpirais. J'ai ensuite retiré ma jupe. Sous mes collants fins, on voyait mon slip, et derrière, ma toison étroite. Je prenais le temps de me regarder, de me raconter des histoires d'humiliation imminente Je me disais que jamais je n'avais porté de collants sans slip. Comme si un chantage m'y obligeait, j'ai retiré le collant puis le slip. Si ...
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