1. Les carnets d'Anita


    Datte: 20/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... les yeux à hauteur de mon sexe, et je devais garder les cuisses ouvertes. Par groupes de deux ou trois, les gens s'approchaient. L'employée montrait les zones qu'elle épilait, les zones les plus sensibles, parlait de l'avantage esthétique, saisissant mes lèvres entre ses doigts gantés, faisant remarquer à l'assistance l'extrème humidité de mon sexe en montrant son gant mouillé. Elle insista pour faire remarquer mes seins qui pointaient. Elle m'a fait signe d'enlever le pull...il y a eu un murmure. "Venez voir de plus près..." Ils se sont approchés. Elle a saisi un téton et l'a fait rouler entre ses doigts : "Vous voyez, elle est très excitée" Elle met ce genre de soutien-gorge par vice, pour montrer qu'elle a des tétons toujours durs." Je n'en pouvais plus. Elle me maintenait les bras pendant que deux bourgeoises me touchaient sous prétexte de juger de la qualité du tulle, sous l'objectif de mon mari. J'ai été retournée, regardée sous toutes les coutures, humiliée par les propos de uns et des autres. L'employée m'a ensuite retiré le soutien gorge et a sorti un martinet du tiroir. Elle a commencé à me fouetter partout. A chaque coup, elle demandait à l'assistance ce qu'elle devait faire, continuer ou arrêter. Les marques rouges s'accumulaient sur mes seins, mon ventre, mes cuisses, mes fesses et mon dos. Enfin elle s'est arrêtée. Elle a sorti un flacon et a commencé à me masser, en évitant soigneusement mon sexe, mais malgré cela je sentais le plaisir monter. Elle s'est lavé ...
    ... les mains et a déclaré à l'assistance : "Maintenant, elle va jouir devant vous, pour vous offrir le reste de son intimité." J'ai dû m'exécuter, je crois que je n'aurais pas tenu encore longtemps sans le faire de ma propre initiative. J'ai joui plus fort que je ne l'avais jamais fait. Je mes suis rhabillée sans un mot, me rendant d'un seul coup compte de ma honte. Déjà, sur la route du retour, l'idée de voir les photos a commencé à m'exciter de nouveau... à moins que ce soit la dernière phrase de l'employée : "La prochaine fois, c'est vous et moi seulement !" L'épisode de la pseudo-épilation en public m'avait terriblement excitée. J'avais été exhibée, humiliée physiquement et moralement, obligée de me faire jouir devant tout le monde. Dès le lendemain, les photos étaient sur Internet, et je n'arrêtais pas de les regarder... Une dizaine de jours plus tard, dans la matinée, j'ai reçu un email de l'employée de l'esthéticienne : "Rendez-vous 19 heures, pour entretien d'épilation. Passez ce midi à 12h20 précises à la boutique "Charmes" et demandez Michèle, de la part de Sofia". Suivait l'adresse de la boutique... Impossible de me concentrer sur quelque-chose. Ce matin-là, j'étais tellement pressée que je m'étais habillée n'importe comment : jean, chaussettes, chaussures à talons plats, tee-shirt et pull, un vieux soutien-gorge blanc, avec un peu de dentelle, et un string, plus mon manteau bien sûr. Et rien pour me changer... La boutique se trouvait dans le grand centre commercial, ...
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