Les carnets d'Anita
Datte: 20/05/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Mais elle m'a tendu un soutien-gorge seins-nus, en me disant :"Voici ta tenue pour le repas, avec les chaussures, c'est bien suffisant ". En fait elle avait organisé une sorte de buffet, qui a duré jusqu'à deux heures du matin, où j'ai dû faire le service, presque nue au milieu de tous ces gens habillés. Certains faisaient des remarques sur mon physique, certaines me tâtaient les seins pour deviner ma taille, d'autres me demandaient si j'étais mouillée. A la fin, l'employée m'a ordonné de me caresser sur la table. J'ai à peine posé un doigt sur mon clitoris que j'ai explosé en me tortillant sur la table. Je me suis rhabillée devant tout le monde, d'autant plus honteuse que mon excitation était un peu retombée... Mais dès que nous sommes arrivés à la maison, mon mari s'est jeté sur moi et j'étais de nouveau trempée... Plus les jours passaient, plus je prenais de plaisir à mes propres perversions. J'avais décidé de tenir un agenda, sur lequel je pourrais tenir le compte de mes actions quotidiennes. Ainsi, à chaque fois que j'arrive à montrer ma lingerie, à me montrer partiellement ou totalement nue, je le note scrupuleusement... Or, j'avais remarqué que je prenais du retard dans mes objectifs... En près de dix jours, j'avais juste réussi à laisser voir mes seins par une employée de banque : j'avais volontairement laissé un compte à découvert après un changement d'agence, et comme prévu, j'avais bien sûr été invitée à passer voir mon ancienne conseillère. Première humiliation : ...
... dire assez fort au guichetier que j'étais convoquée par Mme X pour mon découvert... j'ai senti les regards se tourner vers moi. Puis la conseillère m'a fait entrer. J'ai retiré mon manteau pour dévoiler un chemisier certes opaque, mais outrageusement décolleté. J'ai subi la leçon de morale avec beaucoup d'excitation, me levant au moindre prétexte pour me pencher devant elle et lui offrir la vue de mes seins nus. J'aurais voulu qu'elle m'arrache le chemisier, qu'elle fasse venir d'autres personnes, j'aurais voulu au moins qu'elle me dise de me cacher... mais rien. Décidément, c'était un bilan bien maigre. Il fallait que je trouve autre chose... Dès le lendemain, j'ai eu l'occasion de me rattraper ! Ce jour-là était jour de marché. Pour qui aime la honte, c'est idéal le marché, pas de chichis au marché. Toute la matinée, j'ai hésité sur la tenue, mon dé avait roulé puis s'était arrêté sur le 4 : 4 vetements maximum. Comme chaque jour, je me suis deshabillée plusieurs fois entièrement, et la dernière fois de la matinée je me suis décidée : petit haut moulant sur seins nus, jupe plutôt courte, string, chaussures. Je suis arrivée au marché, bien décidée à trouver une robe légère... Rien ne me plaisait, les commerçants n'avaient pas l'air engageant. Enfin j'ai vu un étal mieux garni, deux vendeurs bavards et de bonne humeur. Un coup d'oeil autour, pas grand-chose pour se cacher. Je sentais mon coeur battre de plus en plus fort... "Je peux essayer ?" L'un des deux vendeurs m'indiqua ...