1. Les carnets d'Anita


    Datte: 20/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... nous allions : vers les maisons en construction où s'activaient une dizaine d'ouvriers. Là, pendant une heure, j'ai été promenée, pelotée, insultée, j'ai dû prendre des poses indécentes. Le peu que j'avais sur moi a été arraché presque aussitôt. " Tu vois, petite pute, la prochaine fois, on te laisse avec eux ! " J'étais soulagée d'échapper au pire, mais mon supplice n'était pas totalement terminé : elles m'ont déposée toute nue à cent mètres de chez moi, après m'avoir rendu mon sac à main " On sait où tu habites maintenant… fais gaffe, petite pute ! ". Elle m'a tendu une photo prise pendant mon supplice " Les autres, on les garde ! " J'ai couru et je me suis engouffrée chez moi, devant des passants moqueurs. J'ai pris un bain et je me suis caressée plusieurs fois pour faire baisser l'excitation, en regardant la photo : j'aurais voulu toutes les avoir… On ne sait jamais si on oublie vraiment les choses par distraction. Toujours est-il qu'après la mésaventure du marché, à laquelle je pensais sans arrêt, mes petits stratagèmes ordinaires me semblaient bien fades… et j'ai oublié mon affaire de découvert. La banque, elle, ne m'a pas oubliée C'était un vendredi matin, mon téléphone sonne. Ce n'était pas ma conseillère habituelle, mais la directrice de l'agence. Dès le début de la conversation, je l'ai trouvée cassante : j'avais beau invoquer un oubli, elle se bornait à me faire la morale. " Non madame, ce n'est pas une invitation, c'est une convocation avant poursuites. Demain ...
    ... neuf heures ! " Le soir même, pas question d'en discuter avec mon mari : il était en province pour une semaine encore. C'était idiot, quelques centaines d'euros, il suffisait d'apporter un chèque et puis voilà : je le savais, elle non… C'était simple, sauf que dans ma tête et dans mon ventre, les choses étaient un peu plus compliquées. Arrivée à l'agence, j'ai dû attendre près d'une demi-heure avant qu'une secrétaire me fasse entrer dans le bureau de la directrice. J'avais déjà très chaud. La directrice était accompagnée de la conseillère, qui se tenait en retrait. Pas de poignées de main. La porte à peine refermée, la directrice a commencé : " Madame, je n'ai pas la complaisance de votre conseillère : votre salaire n'est pas domicilié ici et votre découvert est dépassé. Sachez que je n'ai pas apprécié votre manège de l'autre jour !… " Je me sentais devenir écarlate, je baissais les yeux… " Vous êtes habillée comment aujourd'hui, toujours en pute ? " Elle a ouvert mon manteau et pris ma conseillère à témoin " Vous voyez ?… Ca marche peut-être avec les hommes, mais pas avec moi. Ah vous voulez vous montrer ? Retirez-moi ce manteau et allez attendre dans l'agence, debout bien sûr ! Ensuite, vous m'expliquerez pourquoi vous vous conduisez ainsi quand vous êtes en tort !" J'ai enlevé le manteau. Le matin, j'avais opté pour une jupe courte mais sans plus, avec un tee-shirt plutôt fin, et dans la glace de l'armoire du bureau, je pouvais constater que deux tâches brunes marquaient ...
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