1. Les carnets d'Anita


    Datte: 20/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... j'ai dû le répéter, plus fort. J'avais l'impression de bouillir, j'étais rouge de honte et je sentais l'excitation monter. Mais le plus dur, c'est après que ça a commencé, quand j'ai croisé des regards en relevant la tête : je ne savais plus où me mettre ! Les dix minutes suivantes m'ont paru interminables. Je n'en avais pas assez. A peine descendue du train, je me suis engouffrée dans un café. Dans les toilettes, j'ai retiré ma jupe, mon slip et mes collants, que j'ai casés comme j'ai pu (surtout la jupe) dans mes poches. J'ai replié le bas de mon pull sur lui-même, de manière à bien dégager la vue à partir du nombril, et je suis remontée à moitié nue sous mon manteau, malgré le froid. En bas, j'avais juré de ne pas reboutonner le manteau, de ne le maintenir fermé qu'avec mes bras et mes mains. En quelques secondes, je m'étais fait un programme complet... Je me suis assise à une table devant laquelle tous ceux qui entraient passaient, et de manière à ce qu'on me voie du bar. Quand j'ai croisé les jambes, le poids de mon long manteau m'a découverte jusqu'au milieu des cuisses. Tout le monde me regardait en passant : avec un froid pareil, il est rare de voir des jambes nues. Moi, j'avais très chaud. Quelques minutes plus tard, je me suis levée pour payer. J'ai triché un peu : je me suis appuyée au comptoir pour maintenir le manteau fermé et libérer mes deux mains. Tout le monde voyait que j'étais gênée. Ensuite, je suis allée acheter une paire de chaussures. La vendeuse a dû ...
    ... me trouver bizarre, toujours les mains dans les poches, avec la jupe qui dépassait. Elle est venue vers moi avec 3 boîtes et je me suis assise sur le tabouret, jambes serrées, ce qui n'a pas empêché mon manteau de les découvrir en s'ouvrant. Si j'avais dû libérer une main pour prendre un chaussure, sans voir mon sexe la vendeuse aurait au moins constaté ma tenue. J'attendais. Enfin elle s'est décidée à me déchausser pour me mettre une des paires que j'avais repérées. D'être touchée comme ça, de sentir une main chaude sur mes pieds froids, je frissonnais de partout. J'ai essayé les autres chaussures et j'en ai choisi une paire. Après avoir payé, appuyée au comptoir, j'ai calé la boite contre ma taille et j'ai remis les mains dans les poches avant de m'éloigner... J'étais un peu frustrée tout de même, tout se passait trop bien. J'ai marché un moment dans la rue, en laissant passer de temps en temps l'air glacé sur mon sexe. Puis j'ai fait demi-tour et je suis retournée au magasin de chaussures. Dès qu'elle m'a vue entrer, la vendeuse à prévenu celle qui devait être la gérante, qui a du prévenir les autres vendeuses. Après quelques minutes, la commerçante est venue vers moi, tout sourire, en me tendant la main. En me crispant un peu, j'ai pu maintenir le manteau fermé. Je me suis assise et elle s'est accroupie devant moi... je tremblais de peur. Quand mon pied a été rechaussé, elle a saisi le bord du manteau, l'a ouvert puis refermé aussitôt : elle avait vu ce qu'elle voulait. ...
«12...567...21»