Un amour de filleule
Datte: 20/05/2019,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
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Oral
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BDSM / Fétichisme
délire,
... te baiser, c’est toujours non… Elle tape quelques mots : — Lequel ? réponds-je, amusé. La vérité, même si j’essaie de le cacher, c’est que je ne risque pas trop de l’oublier. Cela ne m’est pas arrivé souvent, d’être aussi serré dans mon froc. — Oui, bien sûr… Pourquoi ? Je ne sais que répondre. — Admettons… Et on ferait quoi ? Elle a déjà préparé sa réponse, comme en témoignent les deux favoris qu’elle a ajoutés dans la barre du navigateur. Il s’agit de deux vidéos : l’une où l’on y voit une ravissante Asiatique saucissonnée de manière inimaginable prendre un panard phénoménal. Quant à l’autre, si je suis bien incapable de dire de quelle nationalité est la fille, elle se prend une fessée carabinée qui se termine par quelques coups de martinet bien sentis et une jouissance peut-être encore plus explosive que la première. Les mots s’alignent de nouveau sur l’écran. Décidément, cette fille me surprendra toujours. Elle continue d’écrire. Je souris. Non, je ne serais tout de même pas allé jusque là… En attendant, et à ma propre grande surprise, j’avoue que j’aimerais bien voir jusqu’où elle est prête à aller. Et puis, après tout, quoi qu’il arrive, je ne renie pas ma promesse : pucelle elle est, pucelle elle restera. — D’accord, mais tu choisis l’une ou l’autre de ces pratiques, pas les deux. Ensuite, on la testera. Elle saute de joie, visiblement ravie. Après quelques secondes d’hésitation, elle finit par s’arrêter sur le bondage. — Excellent choix, Mademoiselle ; je ne raffole ...
... pas de la fessée. Pour toute réponse, elle se pend à mon cou et m’embrasse à pleine bouche. Puis, sans me laisser le temps de respirer, elle se précipite vers un tiroir du bureau d’où elle sort un rouleau de corde de chanvre. Je souris. — Si je t’attache avec ça, autant que j’appuie moi-même et tout de suite sur le bouton rouge. Va donc plutôt chercher la grande boîte dans la colonne de droite de mon lit. « Il y a des silences qui en disent plus que les longs discours » ; c’est une formule bien connue… Et c’est incroyable ce que Natacha parvient à me faire passer avec un simple regard. Ravissement, incrédulité, soulagement, reconnaissance, appréhension, tout cela se mélange dans ses yeux et sur son visage tandis que je la vois revenir avec une boîte en carton que je connais bien. Elle l’ouvre et en sort une longue corde de coton satinée. — Si tu veux que je t’attache, c’est avec cela que je vais le faire. Tu as déjà pratiqué ? Elle hoche la tête négativement. — Bien. Tout le plaisir est d’aller aux limites de la douleur, mais sans jamais les franchir. Je te donne donc le code : pouce vers le haut, cela veut dire que tu veux que je serre plus. Vers le bas, que je desserre ; et si cela doit être fait dans un endroit précis, tu me le montres du doigt avec l’autre main. Poings serrés, c’est bon. Et si c’est insupportable, tu ouvres les mains. Ok ? Ce que je ne lui dis pas, c’est que je ne suis pas un spécialiste de ce jeu, que je n’ai jamais longuement pratiqué comme certains. ...