Un amour de filleule
Datte: 20/05/2019,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
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Oral
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BDSM / Fétichisme
délire,
... Bien sûr, j’en maîtrise les règles de base ; je dois pouvoir affirmer sans être prétentieux que je lui réserve un orgasme dont elle se souviendra ; mais il ne faut pas compter sur moi pour la transformer en œuvre d’art comme j’en ai déjà vues, avec à la clé des jouissances qui ne semblent jamais en finir. « Shibari » ; cela veut dire en Japonais « Art du chanvre ». Et moi, ben… je ne suis simplement pas un artiste. Donc, faisons simple… La corde en double, des nœuds habilement répartis, et en avant, marche ! Natacha, nue comme il se doit, se tient droite face à moi, les yeux brillants de désir, au beau milieu du salon et se laisse faire docilement. Passer la première boucle autour de son cou, en prenant garde qu’elle ne risque pas de l’étrangler d’une manière quelconque, et que le brin soit maintenu suffisamment en arrière pour ne pas lui scier la nuque lorsque tout cela sera tendu. Descendre entre les seins, dont je m’occuperai par la suite. Ah, voici la première pièce de résistance : réussir à faire un nœud plat juste sous son nombril, faire deux boucles au niveau de ses hanches pour aller réunir les deux liens à l’arrière et revenir ensuite sur le devant. — Tu n’oublies pas : pouce en haut, je serre ; en bas, je desserre. Pour toute réponse, elle se contente d’un sourire tout en levant ses deux pouces vers le haut. Je tire sur le lien, d’abord doucement, jusqu’à ce qu’elle grimace légèrement et mette enfin ses deux pouces à l’horizontale. Je referme le nœud, puis passe ...
... les deux brins au niveau de son aine avant de glisser les deux cordes dans les boucles de ses hanches. De nouveau, je tire jusqu’à son rictus, puis je remonte vers l’autre extrémité qui se trouve entre ses omoplates et je noue le tout. Cette façon de ficeler, que certains appellent parfois à tort « la tour Eiffel » a le bon goût de laisser libre à la fois son sexe et son petit trou, et de permette par la suite pas mal de délicieux tourments. Je m’agenouille pour vérifier que les liens sont correctement placés et ne risquent pas de glisser sur la peau – provoquant ainsi un échauffement d’autant plus désagréable qu’il est mal placé – ou de pincer par exemple une lèvre. Là, le spectacle qu’elle m’offre involontairement vaut son pesant de bananes : sa chatte, bien qu’à peine distendue par les cordes, s’ouvre et se ferme telle la bouche d’un poisson hors de l’eau. Et pour faire bonne mesure, tout cela s’accompagne d’un filet de mouille qui commence à perler sur le bord de ses lèvres. Pour la première fois depuis le début de ces aventures, j’ai le sang qui tape dans mes tempes. Surtout, ne pas le montrer, ne même pas lui donner l’impression qu’elle serait capable de me faire craquer… et pourtant je suis à deux doigts de flancher. Non, véritablement, cette fois-ci il faut vraiment que je prenne sur moi ou je vais la punaiser dans le canapé ; et la sensation est d’autant plus terrible que je sais qu’elle n’attend que cela. Essayant tant bien que mal de calmer ma respiration, je passe ...