Un amour de filleule
Datte: 20/05/2019,
Catégories:
f,
h,
fh,
hplusag,
jeunes,
collection,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
rasage,
Oral
pénétratio,
fsodo,
BDSM / Fétichisme
délire,
... derrière elle et je reprends la séance de ligotage esthétique. Un aller, un retour, quelques nœuds aux bons endroits et sa poitrine, haute et fière comme jamais, paraît désormais enchâssée dans un écrin de dentelle un peu particulier. J’en suis par contre à faire très attention à ce que je fais, ma belle filleule semblant apprécier que tout cela soit extrêmement serré… — Surtout, n’oublie pas : si cela ne va pas, tu ouvres les mains ou tu secoues la tête. Ne va pas nous faire un malaise à trop vouloir jouer avec le feu… Bon, en vérité, je pense que je suis assez loin des limites acceptables. J’ai déjà vu des filles dont les seins devenaient bleus à force d’être comprimés, ou dont les liens laissaient de longs hématomes des jours durant, mais qui en réclamaient encore. Là, j’en suis certain, une demi-heure après, on ne verra plus rien. — Je t’attache les mains dans le dos ou tu ne préfères pas ? Bien entendu, cornichon que je suis, je comprends très vite qu’elle a beau opiner du chef, je ne sais absolument pas ce que cela veut dire ! — Je t’attache les mains ? Elle acquiesce de la tête. — Dans le dos ? Nouveau signe de tête, accompagné d’un sourire gourmand. Elle se mord la lèvre, dans une invite silencieuse mais sacrément explicite. Elle est là, devant moi, aussi nue que délicieusement ravissante dans sa parure de cordes, et j’essaie de chasser de mon esprit qu’elle est à ma merci. Sans hâte, je la pousse doucement jusqu’au canapé où je la prends dans mes bras pour l’y ...
... allonger. Je sens son souffle atrocement tiède dans mon cou… Elle attend, immobile et suppliante, les jambes légèrement écartées. Pour une fois, elle ne me provoque pas intentionnellement ; c’est peut-être pour cela que je suis dans cet état. Je pose alors le bout de mes doigts sur sa poitrine. Je sens battre son cœur… Je l’effleure doucement, prenant le temps d’explorer chaque centimètre de sa peau, alternant douceur pure et légères griffures ; son souffle s’accélère au fur et à mesure que je m’approche de la pointe de ses seins. Légèrement, délicatement, j’en saisis les pointes dardées qui durcissent encore au contact de mes doigts, puis je les fais rouler, les étire et les étire encore. Son regard devient fixe ; son visage se crispe et soudain, telle la flèche libérée de son arc, tout son corps se cambre et elle explose en un long cri que le collier ne parvient pas à étouffer. Je la savais excitée, mais peut-être pas au point de jouir de cette façon… Elle revient sur terre, mais sa rentrée dans l’atmosphère n’a visiblement rien changé à son envie : sa chatte continue de frémir comme s’il ne s’était rien passé… — Tu en veux encore ? Tu parles ! Autant demander à un chien s’il veut un os ! Il suffit de la regarder, implorante, pour savoir qu’elle en meurt d’envie. Alors, je pose ma main sur son ventre, juste à la limite de son pubis. Quinze jours sont passés depuis son épilation au Grand Marché, et il n’y a pas le moindre signe de repousse… Mes doigts descendent doucement vers sa ...