1. 1 - L'apprentissage du sexe, par Isabelle


    Datte: 20/05/2019, Catégories: f, h, copains, initfh,

    J’étais alors une petite lycéenne, puisque je terminais ma seconde, si mes souvenirs sont exacts. On me disait assez jolie, et les garçons me « couraient après » comme disait ma grand-mère ! Petite blondinette, pas bien haute (je n’ai toujours pas dépassé le mètre 65 à un peu plus de 40 ans !), pas beaucoup de poitrine, mais des petits seins agressifs, en tout cas bien fermes (un peu moins aujourd’hui… hélas encore), un fort joli sourire, paraît-il, enfin tout pour plaire. Je dois avouer qu’en me regardant dans le miroir de ma salle de bain le matin, je n’étais pas mécontente de mon petit minois, et l’image que me renvoyait le grand miroir de mon armoire, lorsque je me plaisais à scruter le reflet de mon corps, me laissait à penser que j’avais tout pour susciter le désir de ces messieurs. Avant, j’étais encore très innocente sur les choses du sexe. Tout juste avais-je quelques fois – encore que ce fût bien timidement – exploré ma petite « minette » d’un doigt furtif – voire fureteur - mais hésitant. J’avais bien souvent entendu les « grandes » parler du plaisir, de la jouissance, mais je ne l’avais jamais encore connu. Mais tout changea brusquement en l’espace de quelques semaines, à l’occasion d’une rencontre. La rencontre d’un garçon un peu plus âgé que moi. J’avais 17 ans, et ce garçon, je l’avais croisé plusieurs fois dans la cour du lycée, et je n’avais pas manqué de le remarquer. « Ce grand brun, qu’est-ce qu’il a de beaux yeux », n’avais–je pu m’empêcher de dire un ...
    ... jour à ma copine Lydie, qui me répliqua : — J’avais bien remarqué déjà l’autre jour que tu le regardais, il te plait, hein ? Il s’appelle Nicolas.— …Heu… Ben oui… Il me plairait bien… mais il est plus vieux que moi, et il doit avoir un tas de nanas autour de lui.— C’est vrai ça, ma p’tite Isabelle, il est plus âgé, il a 19 ans je crois, et pour avoir des nanas derrière lui, il en a ! m’informa ma copine. Il a le choix. Mais en ce moment, il est avec Laetitia, une grande saucisse, rouquine et plate comme une limande ! Mais rassure-toi, si tu lui plais, ce n’est pas ça qui le dérangera… Comme je le connais, il peut la plaquer d’un moment à l’autre. Tu es beaucoup mieux qu’elle. Et la conversation continua ainsi une bonne partie de la soirée. Lydie et moi élaborions des stratagèmes pour me permettre de rencontrer ce fameux Nicolas. — Si tu veux, comme je connais Laetitia et sa bande, je lui propose un jour d’aller boire un verre avec elle à leur bistrot préféré… Je t’emmène avec moi, et là, y’a toutes les chances qu’on y rencontre Nicolas ! Après c’est à toi de jouer ! Ce qui était dit fut fait. Un vendredi soir (je m’en souviens car le lendemain matin je partais à la campagne chez ma grand-mère), Lydie et moi pénétrons dans le petit bar où nous rencontrons tout de suite Laetitia et deux de ses amies. Nous demandons la permission de nous asseoir auprès d’elles. Hélas, pas de Nicolas en vue. Après un moment, les deux amies de Laetitia s’éclipsent. Nous restons toutes les trois, mais ...
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