1. La chaude Mylène


    Datte: 20/05/2019, Catégories: fh, inconnu, handicap, fdomine, intermast, facial, Oral pénétratio,

    ... entrecuisse !— Désolé, mais j’ai tellement aimé te faire jouir ainsi ! Rétorquai-je, songeur.— Tu as 30 secondes pour aller à la douche, cher ami ! Tu sens le poisson ! Pendant ce temps, je vais nous chercher de quoi prendre un bon petit déjeuner !— Mais il est presque l’heure de l’apéritif !— Peut-être, mais j’ai envie de croissants et de petits pains au lait. Je filai dans la salle de bain et, après une bonne douche, vers 11:15, je me trouvai dans un confortable fauteuil, vêtu d’une veste d’intérieur. Je n’avais pas trouvé les vêtements que je portai la veille. Mylène étant sortie à la boulangerie du coin, je n’osai pas fouiller son appart. Mes yeux ne débusquèrent aucune revue, pas le moindre magazine ni journal. Tout en allant préparer du café, je me remémorai la nuit féerique que j’avais passée dans les bras de la jeune femme. J’étais fasciné par son naturel, par sa façon de faire l’amour, l’odeur de sa peau hantait encore mon nez. Le bruit de la porte qui claque me fit sursauter. Effectivement, le petit déj fut copieux. Son arabica était excellent, bien parfumé. — Où sont mes vêtements ? M’enquis-je avant de mordre dans un croissant tout croustillant.— Hier soir j’ai oublié de les sortir de la machine. Ils sèchent. Tu pourras les mettre en fin d’après-midi. Tu es pressé de partir ?— Mais non voyons ! Après une rapide vaisselle, alors qu’elle posait sa serviette sur le dossier d’une chaise, je la saisis et posai ma bouche sur la sienne. — Qu’est-ce qui te prends ? Me ...
    ... demanda Mylène un peu angoissée.— Je voulais connaître le goût et la texture de tes lèvres. Tire-moi la langue. Allez, tire la langue ! Elle rit et s’exécuta. Je l’embrassai puis, comme elle ne la rentrait pas, je la suçai avec douceur. Elle se serra un peu plus contre moi en émettant un petit gémissement de plaisir. Quand sa langue quitta ma bouche, je bandai comme un fou. Elle n’eut qu’à écarter les pans de ma robe de chambre pour constater mon état. — On ne devrait pas s’embrasser ainsi, dit Mylène d’une voix voilée par l’émotion. Je caressai ses cheveux et ma main glissa sur sa joue rose. Cette fois, je posai ma bouche sur la sienne et la fouillai avec ma langue. Mylène se laissa faire. — Tu n’es pas très obéissant, dit-elle doucement, la face écarlate. Elle me prit par la main et me mena vers sa chambre. Une fois à l’intérieur, elle ferma porte et volets et je l’entendis se déshabiller. Quant à moi, je n’eus qu’à faire glisser ma robe de chambre au sol pour me retrouver nu comme un ver. Nous nous retrouvâmes à nouveau au lit, l’un contre l’autre à nous embrasser à bouche que veux-tu. Elle m’imposait le noir le plus complet, mais je ne protestai pas. Nous nous suçâmes mutuellement la langue en nous caressant avec volupté. Puis, par un accord tacite, je me couchai sur elle. Mylène écarta les cuisses et cambra le bassin pour que je la pénètre au plus profond. Par de violents coups de ses reins, elle m’incita à la besogner brutalement. Elle poussait de petits cris de plaisir, ...