La chaude Mylène
Datte: 20/05/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
handicap,
fdomine,
intermast,
facial,
Oral
pénétratio,
... culbutent les femmes sur une table, et bien, vous allez vous allonger là-dessus et c’est moi qui vous baiserai ! Tout en parlant, elle exerça une poussée sur mon torse pour m’obliger à me coucher. Elle s’agenouilla devant la table et plaça mes jambes sur ses épaules. Dans la nuit la plus impénétrable, je n’osais tenter un renversement de situation. Je me cramponnai donc de chaque côté de la table et subis avec délectation les assauts buccaux de ma pétulante blonde. Cette position inhabituelle pour moi fit monter une violente vague de désir et de plaisir du fin fond de mes tripes. Mon membre grossit et durcit de plus belle. Mylène embrassait, mordillait le haut de mes cuisses, promenait ses lèvres entrouvertes sur ma peau, donnait des coups de dents sur mes tendons, passait la pointe de sa langue tendue dans le sillon de l’aine. Elle évitait soigneusement mon pénis pour faire augmenter mon impatience de sentir la chaleur de sa bouche autour de mon sexe. Malgré mes suppliques, elle fit durer son petit manège un bon moment. — Mylène, je vais exploser ! Finissez-moi, je vous en prie ! Sa main gauche prit appui sur ma cuisse, son autre main était entre les siennes. En même temps qu’elle me suçait, Mylène se masturbait. Ses longues mèches blondes balayaient mes jambes et les onomatopées de gourmandise qui franchissaient sa gorge contribuaient aussi à ma surexcitation. — Oh oui ! Bouffez-moi la queue ! Mon ventre se creusa quand, avec une pression calculée, ses crocs se refermèrent ...
... d’un coup sec sur ma verge palpitante. Mes doigts rencontrèrent les siens au bord de la table. En même temps que nos phalanges se croisaient, elle fit glisser mon épieu jusqu’au fond de sa bouche, les lèvres bien serrées sur mon dard. Tout en enroulant sa langue autour de celui-ci, elle le fit coulisser de haut en bas d’un ample mouvement de la tête. En poussant un grognement animal, mon orgasme gicla au fond de sa gorge en jets puissants. Mylène me garda en bouche jusqu’à ce que je redescende sur terre. — Bon, je vais me coucher. N’ayez crainte, mon canapé est confortable.— Le canapé ? Mais… J’ai encore envie de vous faire jouir, lui fis-je savoir, incrédule. Mais elle disparut, me plantant-là, le cul nu sur la table. Je l’appelai à plusieurs reprises, mais n’obtins pas de réponse. Dans le noir le plus complet j’essayai de trouver le canapé. Bien entendu, je me cognai partout. Je décidai de me figer brusquement pour écouter. Je n’entendis que le « ronron » lointain du réfrigérateur, le « tic-tac » d’une pendule dont je n’arrivai pas à définir la provenance. — Mylène vous êtes là, je le sais, j’entends votre respiration ! Déclarai-je un peu angoissé. Elle éclata de rire et se dirigea vers moi. — Oh, vous avez quand même une bonne oreille ! Bon, j’ai pitié d’un pauvre aveugle, venez ! Gloussa-t-elle en me prenant la main. Elle m’attira contre son corps nu et me saisit mes attributs virils. — Ah ah ! On la ramène moins ! Regardez-moi ça, on dirait une nouille trop cuite ! Après ...