La chaude Mylène
Datte: 20/05/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
handicap,
fdomine,
intermast,
facial,
Oral
pénétratio,
... faisaient durs. Son splendide cul était au bord de la machine, elle était en appui sur les coudes. Les vagues de plaisir la faisaient s’agiter, je craignai pour le lave-linge. Mon menton et mes joues étaient recouverts d’une mouille tiède. La pointe tendue de ma langue cognait de plus en plus souvent son clitoris devenu raide et dur. Son odeur de fille fit se redresser à nouveau ma verge. — Vous me rendez folle ! Oh ! C’est bon ! Comme vous savez bien me bouffer la moule ! Ah ! C’est trop ! Je jouis ! Oui ! Une vague de nectar éclaboussa ma face. Avec avidité je dégustai son orgasme chaud et onctueux. Nous nous retrouvâmes debout, dans les bras l’un de l’autre, à bout de souffle. — Je crois qu’une douche s’impose, non ? Murmura la jeune femme, sa tête contre mon épaule.— Oui, mais il fait noir ici ! Lui rappelai-je.— Nous allons la prendre ensemble, puis nous irons manger un morceau, décréta-t-elle. Elle m’aida à me laver, comme elle l’aurait fait pour un enfant. Nous restâmes sages sous le jet, hormis quelques pelotages de roploplos ou de furtives caresses sur mon pénis. Dieu que c’était pénible d’évoluer dans une nuit continuelle ! Intraitable, elle n’alluma aucune lumière et nous traversâmes son appartement complètement nus pour gagner la cuisine, moi dans son dos, les mains sur sa taille, comme deux enfants jouant au petit train. Elle guidait mes moindres gestes. Je pris place sur une chaise en bout de table. Heureusement qu’il y avait un carré de tissu épais sur ...
... l’assise, sinon c’était le froid du formica sur mon cul. J’attendai avec impatience que Mylène allume le gaz, histoire de distinguer un tout petit peu son corps nu à la lueur des flammes bleues. Zut ! C’était des plaques électriques ! — Au menu : saucisses à rôtir et spaghettis ! OK ? M’annonça-t-elle. Je l’écoutai aller et venir, j’entendai des bruits d’ustensiles, mais impossible de distinguer sa silhouette. Le pschitt caractéristique d’une boîte de boisson gazeuse qu’on ouvre parvint à mes oreilles. Un bon parfum de bière passa sous mon nez. — Je vous admire ! Comment faites-vous pour faire tout ça sans vision ? Elle saisit ma main qui tenait la boîte de bière et cogna la sienne contre la mienne. — L’habitude, et de toutes façons, je n’ai pas le choix ! Me répondit-elle. Son ton me disait qu’elle n’avait pas envie d’aborder ce sujet. Je lui expliquai donc que j’habitai la ville depuis septembre et que je ne connaissai pas grand monde. Je lui parlai de mon boulot d’informaticien, elle me parla de ses cours de droit à la fac. J’appris aussi qu’elle avait 20 ans. Elle rit beaucoup lorsque je tentai de couper ma saucisse et essayai de manger mes spaghettis. Une bouffée de tendresse me submergeait chaque fois que Mylène riait de moi. — Il faut que j’arrête de me moquer de vous et de vous charrier, sinon, vous allez croire que je suis givrée. Elle marqua un temps d’arrêt et éclata à nouveau de rire. Je me levai alors de ma chaise en étouffant ma propre hilarité et trouvai ses cheveux ...