La chaude Mylène
Datte: 20/05/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
handicap,
fdomine,
intermast,
facial,
Oral
pénétratio,
... que je tirai doucement en arrière. — Si vous faites encore une fois allusion à ma chute dans la tranchée pleine d’eau gelée, je vous viole avant de rentrer chez moi, lui dis-je en feignant une colère contenue. Son rire se coupa brusquement, puis elle rétorqua : — Neige, givre, glace, froid, gel, congélateur… Sa phrase fut interrompue par un nouveau rire qu’elle ne pouvait plus retenir. Je m’agenouillai à côté de sa chaise. Elle passa son bras autour de mon cou, je posai ma tête contre son épaule. — J’adore l’odeur de votre peau. Et vos seins… J’adore aussi vos seins ! Ils sont si fermes, si doux, on a envie de mordre dedans, envie de sucer leurs pointes. Tout en parlant, je la caressai du bout des doigts avec douceur et sensualité. Elle pivota sur son siège et je me retrouvai ainsi à genoux entre ses cuisses maintenant largement ouvertes. Je n’eus qu’à me pencher pour aller embrasser, lécher, sucer ses seins. Je pris appui de la main gauche sur sa cuisse et de l’autre, je commençai à farfouiller dans sa fente intime. Pendant de longues minutes ma bouche passa d’un sein à l’autre, ma main fouilla son entrecuisse. D’abord avec un doigt, puis deux… et enfin trois. Je trifouillai au plus profond que je le pouvai, jouant du poignet en alternant avec des va-et-vient plus ou moins rapides pour faire durer son plaisir. Ma jolie blonde gémissait, ondulait, soupirait, se contorsionnait sur sa chaise, se trémoussait en s’agrippant à moi. Sa liqueur de fille suintait à nouveau en ...
... abondance sur ma main. Elle eut un brutal soubresaut, s’immobilisa, puis poussa une longue plainte étouffée, comme un feulement. Mylène venait de jouir. — Je crois que je vous ai griffé le dos, non ? Me fit-elle remarquer, confuse. Sans répondre, je posai ma tête sur ses jambes pour m’enivrer des parfums de son orgasme qui émanaient de la fourche de ses cuisses. — Vous bandez fort, je sens votre queue frétiller contre ma jambe !— J’ai à nouveau très envie de vous. C’est dingue ce que je vous désire ! Lui avouai-je sans détour.— Et bien, nous baiserons tout à l’heure, allons jeter un œil sur la télévision. Je n’osai lui dire ma déception, mais nous avions toute la nuit pour jouir des plaisirs du sexe. Elle me guida jusqu’au canapé et, avant d’allumer le téléviseur, elle enfila sa robe de chambre. « Décidément, ce n’était pas encore le moment de la voir à poil ! » pensai-je avec dépit. Nous suivîmes la météo et le journal de 20 heures, puis, en somnolant, une émission de divertissement sans grand intérêt. Mylène avait posé sa tête sur mon épaule. Bien avant la fin, elle s’étira en baillant… — Relevez-vous et suivez-moi ! Me proposa-t-elle en éteignant la télé à distance. Nous quittâmes le salon et gagnâmes le séjour, toujours dans l’obscurité la plus totale. Elle mit de côté la chaise du bout de table et me demanda de m’asseoir sur le bord. — Où voulez-vous en venir ? M’enquis-je, curieux mais un peu inquiet pour la suite.— Nous allons inverser les rôles ! D’habitude, les hommes ...