1. Le fol anniversaire d'Antonia (15)


    Datte: 20/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Ce qui suit est onirique, fabuleux et inimaginable. Les trois femmes tournent autour de moi, chuchotent entre elles. Je ne sais pas qui jecaresse, qui me caresse, qui je lèche, qui me suce, qui je doigte, qui m’embrasse. Fréquemment, une autre femme glisse sur mon sexe. J’entends des gémissements, je sens desorgasmes. On me redresse, on me fait prendre l’une des trois, puis une autre. Une pause. On m’allonge sur le côté. Je ne peux pas toucher ma partenaire. On me dirige dans son cul. Viviane ? Je ne sais pas. C’est étroit et long avant d’arriver à une bonne pénétration. Quand je parviens à faire quelques allers-retours réguliers, on me retire lebandeau : Samuela. Je suis en train d’enculer Samuela ! Je rapproche mon buste du sien. Elle souffle : — Finis ! Vite ! Monexcitation est de toute manière à son zénith et j’explose entre ses fesses. Elle s’effondre : — Mon Dieu, je mourrais moins bête ce soir ! Tout le monde éclate de rire. Le dernier jacuzzi en quatuor est particulièrement apprécié. Nous en sortons tous les quatre quelques minutes plus tard et nous repassons enfin des vêtements. Pas en avance, Samuela est la première à partir. Elle salue sa sœur et Viviane, puis je l’accompagne à la porte. Elle m’enlace : — Merci, merci, merci à vous deux de m’avoir invitée cet après-midi et merci à toi de t’être si bien occupé de moi. Je souris, nous nous embrassons. — Quand est-ce que je peux t’inviter à dîner ? Elle éclate de rire, je lui fais un clin d’œil. — Je t’avais ...
    ... prévenue que je te redemanderai très vite. — Je vois ça. Écoute, ça me gêne, je n’ai pas de envie de mentir à mon mari et… — J’aimerais te changer les idées. On peut y aller à midi si cela te convient mieux. — Oui, c’est plus facile pour moi. Nous nous embrassons tendrement. Je lui murmure à l’oreille : — J’ai envie de coucher avec toi. Elle ne répond pas tout de suite puis : — Je ne devrais pas dire ça, mais j’en ai très envie aussi. Ça me manque tellement. Nous nous enlaçons longuement. Un dernier smack et Samuela passe la porte. Je reviens vers Antonia et Viviane qui sont en train de se faire la bise. Retour à la porte avec Viviane. Je soulève sa jupe : — Tu as aussi remis ton string à ce que je vois. Elle sourit. — Un après-midi inoubliable, je vous remercierai jamais assez tous les trois. — Tu n’es plus en colère alors ? — T’es con. Nous nous embrassons. Je lui dis : — Alors, ce restaurant ? — Un samedi. Comme ça, tu peux venir plus tôt pour choisir mes vêtements. — Je peux déjà venir le vendredi soir. Elle comprend tout de suite mon allusion. — Tu veux dire, juste après le boulot ? — Par exemple. — Une de ces journées où je porterais un tailleur un peu strict, le gris par exemple. — Une intéressante éventualité. — Ou je pense à cette petite jupe en cuir que je viens d’acheter aux soldes. Je peux aussi la porter avec le joli chemisier blanc que tu avais bien apprécié. — Qui dessine si bien tes seins ? wtewkkmq Notre baiser est parfaitement obscène, un mélange de langue hors ...
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