1. Le fol anniversaire d'Antonia (15)


    Datte: 20/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... bouche. — Je crois effectivement que tu vas venir le vendredi soir. Ma main passe rapidement sous sa jupe et dans son string. Viviane est toute mouillée. — Arrête, sinon on le le refaire ici. Va rejoindre Antonia. Viviane me repousse avec douceur. Je m’écarte, elle s’en va. Antonia a refait un tant soit peu le lit. Elle a vidé le jacuzzi et entrouvert la fenêtre. Ça sent le sexe et la sueur, pas très agréable. Plutôt que de rester dans la pièce, nous allons nous allonger dans l’immense canapé. Antonia, en soutien-gorge et string noirs, se love contre moi. — C’est peut-être méchant ce que je vais dire, mais je ne suis pas fâchée qu’elles soient parties. Je ne réponds rien. Elle poursuit : — Trop sexuel pour moi, même si c’était très excitant, je l’avoue. Je suis heureuse d’avoir passé cet après-midi, un expérience dont je me souviendrai toujours. Mais c’était vraiment hard. Je l’embrasse tendrement. Elle sourit : — Je te préviens, on ne fait pas l’amour avant de descendre souper. Elle caresse mon torse : — Par contre, je veux pleins de câlins. Des baisers, des caresses, de la douceur, Antonia et moi parlons tout en nous câlinant. Nous rions souvent. Nous sommes parfois plus sérieux. A un moment, elle dira : — Après ce week-end, on arrête. Vraiment. Il faut que tu me le promettes car je suis en train de tomber amoureuse et je sais qu’il va déjà être difficile de revenir à la réalité. Un peu après, malgré son avertissement et après m’avoir masturbée, Antonia vient à cheval sur ...
    ... moi, écarte son string et me fait pénétrer en elle. Lentement, très lentement, elle me chevauche, comme si elle voulait sentir chaque centimètre de mon sexe. Elle jouit par trois fois. Je la laisse faire jusqu’au bout. Habile, elle me fait jouir sans accélérer le rythme. Divin. Nous nous préparons ensuite chacun de notre côté pour aller manger. Apprêté, je l’attends dans l’entrée. Je m’attendais à une belle tenue mais Antonia me laisse sans voix : en haut, sous un châle de mousseline blanche, elle porte ce que je pense être tout d’abord un bustier blanc hyper sexy. En bas, elle porte juste jupe crayon noire, taille haute, des bas blancs opaques et des talons noirs vertigineux. Elle s’approche. Je remarque les détails de son "bustier" et me rend compte qu’il s’agit en fait d’une guêpière en satin au décolleté lacé. Il ne s’agit pas d’un pièce de lingerie qui pourrait passer pour un top : non, c’est là le genre de guêpière portée uniquement dans l’intimité, trop sexy pour être passées sous des vêtements. Mais le comble de mon excitation provient des bonnets qui sont manifestement une à deux taille trop petits pour elle et qui pourraient être "découpés" horizontalement en trois parties : en bas, une découpe en satin couvrant le dessous du sein jusqu’à une couture passant sous l’aréole; au milieu un bande de dentelle transparente qui ne couvre que la largeur de l’aréole; en haut, rien. Autrement dit, on voit tout. Ma mine certainement décomposée amuse Antonia qui passe devant moi ...