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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (16) : gang bang et rencontre avec Marie
Datte: 25/08/2017, Catégories: Dans la zone rouge,
... tu t’adresses à moi, ajouta-t-elle, en me giflant sans ménagement. D’emblée, elle marquait sa domination, en m’embrassant dans le cou, mais en profita pour m’y laisser la trace de ses dents. Je comprenais que je ne sortirai pas de cette soirée sans marques et que je venais de croiser la route d’une personne qui ne me voulait pas de bien. Jean et Rachid, les organisateurs de la soirée, me présentèrent aux autres invités. Ils avaient été triés sur le volet, parmi les habitués des soirées hard de Jean et Christine, sur leur réputation de baiseurs. Je ne pensais déjà plus qu’à l’idée que tous ces hommes étaient là pour moi et je sentais déjà la pointe de mes seins se durcir et ma chatte s’humidifier. Parmi ces hommes, il y avait Olivier et Serge, les deux collègues de Philippe, que nous avions croisés lors de la soirée à l’opéra. Ils ne cachaient pas qu’ils étaient venus en éclaireurs car d’autres collègues voulaient sauter la femme de Philippe. Il y avait aussi parmi les invités un grand Black, Ahmadou, un ami intime de Rachid. Les autres avaient été choisis sur leur réputation de baiseurs et leur assiduité aux parties fines de Jean et Christine. La présentation faite, qui s’était accompagnée des commentaires peu ambigus de ces hommes, qui savaient pourquoi ils étaient là et ce qui allait se passer, avec le consentement de mon mari, qui voyait son candaulisme pousser jusqu’où il n’aurait pu l’imaginer. Avant que la soirée ne commence, j’ai pu un instant être avec Philippe. Je ...
... me précipitais dans ses bras et nous échangeâmes un long et tendre baiser. Je savais que cette soirée ne serait pas celle de la tendresse et des préliminaires, mais des étreintes brutales. J’avais donc besoin de l’amour de mon mari. • Oh mon chéri, tu m’as tellement manqué. Je ne peux pas vivre sans toi • Je t’aime mon Olga, j’étais inquiet, tu sais. • Il s’est bien comporté. Mais toi, j’ai appris qu’ils t’ont brutalisé • J’ai eu mal, mais en même temps ça me prépare, je dois assumer cette envie d’être pris par un mâle. Je le ferai bientôt, mais devant toi. Je sais que tu aimeras ça comme j’aime te voir prise. • Ce que je vais faire ce soir, je le fais pour mon plaisir, mais aussi par amour pour toi. Je sais que tu vas adorer ça. Jamais je n’ai été possédée par autant d’hommes en même temps. • Je t’aime Olga, merci mon amour. C’est Marie C qui nous sépara : • Bon ça suffit ces simagrées. Tout le monde sait que tu es ici pour le plaisir des invités. Ne perdons pas de temps. Jean rappela les règles de la soirée. Lui-même, Rachid et Philippe n’étaient pas autorisés à me toucher. Ils ne pourraient participer qu’à la fin où m’était déjà promise une douche de sperme. Striptease Jean s’installa avec Christine sur un canapé. Ils étaient autant décidé à mater qu’à copuler, séparés l’un de l’autre depuis plus d’une semaine. De son côté, Marie C s’installa entre Philippe et Rachid, ne cachant pas d’emblée ses intentions : me prendre mon mari et mon amant. Un des invités s’approcha et en ...