1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (16) : gang bang et rencontre avec Marie


    Datte: 25/08/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... et s'enfonçant au plus profond du cul, me réveillant brutalement, surprise par l'intromission féroce de cette pine énorme dans mon postérieur. À ce moment, Jean me présente sa verge à sucer, je la prends instinctivement, la pompant avec beaucoup d'ardeur. Marie se munit d’un énorme gode-ceinture, celui qui avait servi à Christine pour sodomiser Philippe, et me prend sans ménagement. Elle me dit à l’oreille • Je vais désormais conseiller Rachid pour ton éducation, petite catin. Je te le prendrai comme je prendrai ton mari. Et toi tu vas souffrir. Je sais que désormais je serai encore prise par tous mes orifices de nombreuses fois, mais qu'importe, je vais jouir, jouir, jouir. Il n'y a plus que cela qui compte désormais dans ma vie. Mais je suis convaincue que cette mégère ne parviendra pas à me prendre mon mari. Elle en profite pour labourer au sang mes épaules avec ses ongles. Lorsque les deux hommes ont déchargé leur foutre dans ma croupe et dans ma gorge et qu'ils se retirent assouvis, Christine, avec l'aide de Philippe, me conduisit à sa chambre et m’étendit sur le lit. Puis, elle appliqua sur mes plaies des crèmes adoucissantes et cicatrisantes. Elle passe ensuite entre mes cuisses une éponge et un linge pour nettoyer ma vulve imbibée de ...
    ... foutre et de mouille. Philippe était près de moi, tendre, me caressant doucement et m’embrassant. Il n’était nullement rebuté par le fait que j’étais couverte de sperme et que je dégageais une odeur de stupre. • Tu as aimé cette soirée, mon Philippe ? Ça t’a plu de voir jusqu’où je pouvais aller ? • J’ai adoré. J’ai eu peur à la fin. Cette Marie me fait peur, elle te hait. • Tu sais chéri, même cette séance, qui était douloureuse, m’a fait jouir. • Tout cela va trop loin il faut que nous arrêtions. • Tu as voulu cela Philippe et moi je veux continuer. Je veux seulement que tu sois toujours à tes côtés. Que tu ne manques rien de mon plaisir, car je sais que tu adores ça. Et que je puisse toujours compter sur ton amour. J’ai regagné notre domicile avec Philippe et Rachid. Philippe m’a soigneusement lavé, comme un bébé, sous la douche. Je me suis endormie entre Rachid et Philippe. J’étais tendrement dans ses bras quand le matin je fus réveillée par la première saillie de Rachid, qui ne se souciait guère de ménager mes pauvres orifices, mis à rude épreuve la veille. Mon éducation allait continuer, mais serait certainement durcie, compte tenu de l’influence qu’avait désormais Marie C sur Rachid, encourageant les tendances dominatrices de celui-ci. (A suivre) 
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