1. Ma vengeance : chapitre 1- ma tante


    Datte: 21/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    Je m’appelle Daniel. Les seize premières années de ma vie furent très heureuses. Mon père Hervé 45 ans, banquier de son état était un très bel homme d’1m85. Il était très amoureux de ma mère superbe blonde de 40ans. Nous vivions dans une très belle villa à proximité de Versailles. Maman ne travaillant pas pouvait se consacrer totalement à sa maison, son mari et son fils. La foudre tomba brutalement sur nous. Maman fut emportée par un cancer foudroyant nous laissant désemparés. Papa se renfermait sur lui-même et nos échanges devenaient de plus en plus lapidaires. Je suis un plutôt beau garçon. J’ai hérité du côté sportif de mon père avec une musculature plutôt impressionnante pour mon âge et les traits fins de ma mère. A 18 ans avec mon 1 m 85, je ne passe pas inaperçu. La situation à la maison n’était plus gérable. Papa se laissait aller. Le ménage n’était plus fait. Dès qu’il rentrait, il s’enfermait dans sa chambre. Plus aucun contact avec lui n’était possible. Ma tante Eliane la demi-sœur de ma mère qui passait de temps en temps, le voyant dépérir, lui proposa de s’installer provisoirement à la maison et d’engager du personnel de maison. Ma tante s’était beaucoup rapprochée de ma mère au cours de sa maladie. Elle était née d’un premier mariage de mon grand-père. C’était une très belle femme de 45 ans, brune, élégante avec de très longues jambes et une forte poitrine. Elle était veuve depuis 8 ans. Elle avait vécu au Canada une vie disait-on dans la famille, dissolue. ...
    ... Ma mère lui avait demandé de passer la voir dès son retour en France. Elles s’étaient ensuite revues régulièrement. Je ne l’aimais pas beaucoup car elle était très autoritaire, désagréable au possible avec moi. Au fur et à mesure que la santé de ma mère déclinait, elle avait pris l’ascendant sur mon père m’accusant de tous les maux. J’étais régulièrement puni, privé de sortie. Elle faisait le vide autour de moi. J’avais depuis deux ans une petite amie, Brigitte, qui avait pris l’habitude de venir me voir. Elle avait cinq ans de plus que moi. C’est elle qui m’avait déniaisé, profitant d’un week-end où mes parents s’étaient absentés. Elle aimait faire l’amour. Comme j’étais très bien monté, elle profitait au maximum de son « joujou favori ». Elle avait de gros seins avec de gros tétons que j’aimais travailler et étirer. Lorsqu’elle était sur moi, je jouais beaucoup avec son cul que mes doigts pénétraient régulièrement. Elle aimait cela. Un jour alors qu’elle était à quatre pattes et que je lui avais bien élargi la rondelle, je lui présentais ma queue à sucer. Quand elle fut bien lubrifiée, je quittais sa bouche et la présentais devant son anus et commençais à la pénétrer doucement. Lorsque mon gland réussi à forcer le passage et mon sexe l’embrocher complètement elle poussa un cri de douleur. Je la laissais s’habituer à la présence de mon vit et commençais mes mouvements de va et vient. La douleur laissa vite place à des petits cris de jouissance. J’aimais beaucoup dans cette ...
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