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Ma vengeance : chapitre 1- ma tante
Datte: 21/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge,
... position lui attraper les seins, les pétrir et en titiller les bouts. J’accélérais le mouvement et avec un grand cri je me déversais en elle. J’aimais beaucoup la sodomiser. Elle avait de très belles fesses et un cul vraiment accueillant qui s’était habitué à mon sexe. Elle suçait divinement bien. Je n’aurais pas pu avoir meilleure initiatrice. Elle aimait aussi jouer avec mon petit trou et me pénétrer de ses longs doigts. J’appréciais cette caresse. Peu de temps après l’installation de ma tante, mon père et elle s’absentèrent pour la journée. J’appelais Brigitte qui se précipita à la maison. En fait ma tante nous avait tendu un piège. Elle ne supportait pas la présence de mon amie. La porte s’ouvrit alors que Je la sodomisais. Ma tante entra en s’exclamant: « je te l’avais bien dit ». Mon père me regardait d’un air méprisant. Je me dégageais du cul de Brigitte. Ma tante récupéra nos vêtements et nous demanda de nous tenir debout l’un à côté de l’autre. Elle nous gifla plusieurs fois profitant au passage pour tordre et pincer violemment les tétons de Brigitte qui hurla sous le coup de la douleur. La méchanceté se lisait sur son visage. Brigitte n’en menait pas large car ma tante menaçait de porter plainte pour détournement de mineur car nos relations avaient commencées alors que je n’avais pas seize ans. Elle alla chercher la ceinture de mon peignoir et se mit à nous cingler le corps de coups violents. Elle voulait vraiment nous faire mal. ...
... Elle s’acharnait en particulier sur mon sexe. Prenant Brigitte par la main, elle la conduisit à la porte de la maison et la projeta nue à l’extérieur avec ses vêtements. Elle voulait l’humilier et casser notre relation. Mon père m’enferma dans ma chambre et décida de me mettre en pension. Nous étions en milieu d’année scolaire et le seul établissement de valeur disponible était aux environs de Genève. Les jours précédant mon départ furent terribles. Mon père ne me parlait plus et ma tante me regardait d’un air méprisant. Quand mon père était absent, un sourire de satisfaction apparaissait sur son visage. Elle me signifiait par là qu’elle avait gagné. Brigitte ne voulait plus avoir aucun contact avec moi. Sa présence me manquait car j’étais devenu accroc au sexe. Je n’arrêtais pas de me masturber et les traces que je laissais après moi, augmentait l’attitude méprisante de ma tante. La veille de mon départ, un couple se présenta pour se faire embaucher. : Julien 35 ans plutôt bel homme et Marie une belle brune de 30 ans à l’allure garçonne. Ils semblaient bien connaître ma tante. Le nouvel homme à tout faire me conduisit au pensionnat « Les oiseaux » à 30 km de Genève. Ma tante lui avait certainement parlé de moi car il n’arrêtait pas au travers d’allusions graveleuses, de montrer qu’il connaissait ma situation. Mon père ne s’était même pas déplacé pour me dire au revoir. Je jurai de me venger de cette garce qui était responsable de mon exil.